24. DERNIER ESPOIR

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⚠️ Violence
⚠️Violence sexuelle

Julien sourit en réponse à la proposition de mon père.

Puis il s'avance doucement vers le fond du hangar, vers moi.

Bientôt plus que 10 mètres nous sépare et je n'ai jamais eu aussi peur.

"fais en ce que tu veux" mon père me considère réellement comme un vulgaire objet.

- On va s'amuser toi et moi...

Bordel ce mec est un psycopathe tout droit sorti d'un film d'horreur.

Mais c'est seulement lorsque qu'il avale les derniers mètres qui nous sépare que je perd tout espoir de m'en sortir saine et sauve.

Il pose sa main et caresse doucement la manche de mon chemiser...puis la déchire d'un seul coup en la tirant violamment.

Pitié non.

Mes sens s'alerte, je voudrais m'échapper, courir, crier, être partout sauf à cet endroit, mais je ne peux rien faire de tout ça, ligotée à une poutre, prisonnière de ses mains qui me dégoûtent et séquestrée dans un hangar pommé.

Je suis impuissante.

Il pourrait me faire subir toute les tortures du monde, mais personne ne le serait.

J'ai perdu également tout espoir que mon groupe, ma famille, vienne me sauver.

Je vais mourrir ici, même pas majeur.

~

Point de vue de Liam :

Nous sommes arriver devant le restaurant que nous a indiquer Lya tout à l'heure au téléphone.

L'aimant.

Alexis m'affiche maintenant les coordonnés GPS de la capture d'écran de la géo-localisation de Lya avant qu'elle ne disparaisse totalement tout à l'heure.

Je jette un coup d'œil au trajet sur l'écran d'Alexis : 2 minutes restante.

J'essaye d'aller le plus vite possible mais il y a des putain d'embouteillage.

- Elle se situe dans un hangar apparement. Nous informe Alexis en zoomant sur la capture d'écran de la localisation.

J'espère que Lya va bien.

Je ne suis pas croyant pourtant je me retrouve même à prier pour elle en ce moment.

Je crois que je n'ai jamais eu aussi peur pour quelqu'un et bordel ça me tue de l'avouer.

Si quelqu'un ose la toucher, j'espère qu'il ne tient pas beaucoup à sa vie.

~

Point de vue de Lya :

Bientôt ses mains on quitté mes bras et sont partout sur mes hanches, je sanglote mais il en a rien à faire, il apprécie même davantage.

Je pense à mon père qui est à côté du hangar mais qui n'en a rien à foutre, il me laisse littéralement commencer à me faire violer.

Je me sent sale.

Ses mouvement deviennes brusque et il aggripe le bas de mon chemisier, là où étaient posées ses mains et tire violamment dessus, me denudant à moitié.

Le chemiser tombe au sol.

Je le déteste.

Et je déteste mon père pour le laisser me faire subir ça.

𝑴𝒂𝒈𝒏𝒆𝒕𝒆 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant