Cœur Cendré TOME 2

02 : Comprendre à demi-mot.

Ashe - moral of the story.

Alors c'était vrai ? je n'arrive pas à le croire. Mon évasion s'annonce à être compliqué à présent.

Tout les regards étaient posé sur moi, ces hommes présent dans la cour me dévisageaient comme si j'étais un fantôme sans vie pendant quelques secondes avant qu'ils ne baissent la tête.

J'avance pour pouvoir sortir de la propriété de ce manoir quand deux hommes se mettent en face de moi.

Je serraient mes poings. Je regardais ce hommes tour à tour. Le premier était roux, je pouvais remarquer quelques taches de rousseurs voyants sur ses pommettes haute.

Le second était brun, il avait une barbe de trois jours, ses iris de couleur marron fixaient le sol de manière soutenue.

— désolé mais vous ne pouvez pas sortir, déclara doucement l'homme au iris marron.

— qui êtes-vous pour en déduire cela ? Dis-je en essayant de les contourner.

Mon corps se crispa lorsque un autre homme se plaça devant moi. Son bras était levé sur le côté pour but de me barré le chemin, il a gardé toutefois une distance entre nous deux corps et son regard n'osait pas se lever pour rencontrer le mien. C'était étrange.

— poussez-vous. Ordonnai-je sur un ton ferme.

Ils ne disent rien et ne bougent point. J'en avais assez de cette situation remplie de gêne et d'incommodité. Mon dieu ce n'est pas eux qu'ils vont m'empêcher de sortir ?

Je suis aller au-delà de certaines limites.

On m'impose de rester dans un endroit alors que je suis sensé être libre de faire ce que je veux, comme toute les personnes normales dans ce monde.

Je ne sais pas ce que c'est la liberté. C'est peut-être exercer, de penser ce que l'on souhaite de faire. Je n'ai jamais pu goutter à ce mot, à sa vrai définition.

J'avançais jusqu'à arriver au grand portail. Je ne savais pas comment celui-ci allait s'ouvrir. Il avait l'air d'être vraiment moderne et à la fois solide à cause de son ancienneté. Les gardes me suivaient, je sentais leurs ombres juste derrière la mienne.

— ouvrez-moi, il faut que je sorte.

Je n'étais pas très surprise de savoir qu'aucun son n'allait sortir de leurs bouches.

— pas de soucis je vais donc le faire à ma manière.

Ma voix et mes pensées étaient bien décidées. Le mur était beaucoup trop grand alors je pouvais oublier l'idée de l'escalader.

Je commencé à donner des coups de poings, des coups de pieds sur le grand portail. Le bruit de mes coups résonnaient dans toute la propriété. Les hommes ne bougeaient, ils me regardaient tout simplement faire. j'étais horripilée.

Je refusais d'être enfermé une seconde fois.

Je regardais autour de moi, je voyais qu'il y avait une grande fontaine au loin autour de celle-ci se trouvait des semblable pierres, pour la décoration. Je m'approchais alors de celui-ci je prenais le plus gros et je commençais à tirer sur les gardes.