22 : Jadis.

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Phantogram - Blackout Days


Hares


« Cet enfant n'est pas de toi ! Oui j'ai pris du plaisir à baiser avec un autre !

Je suis content de ne rien recevoir de toi.

Je te déteste. »

Elle me déteste.

Je l'a déteste.

Non, je l'a déteste pas.

Serrant fort mes mes poings signe de ma colère que j'en suis incapable de m'en débarrasser. Tout ce que je voulais c'était détruire le monde entier.

Ses iris clairs larmoyants et en colère tourmentent mon esprit depuis qu'elle a traversée le seuil de la porte avant de venir la claquer de toute ces forces.

Ma main attrape une tasse posée sur le bureau pour venir la brisée en mille morceaux, hurlant de rage.

Je saisit par la suite tous ce qui se trouve en face de moi, ordinateur, siège, plante, des cadres ainsi la table basse en verre qui fini en éclats sur le sol comme le reste.

Ce n'était pas suffisant.

Non, ça ne l'es pas pour calmer ma colère.

Je n'imagine même pas la sienne.

Je sens mon visage crispé, je méritais cette gifle après toutes les accusations qui ont dû titiller sa colère. Mes bras sont tendus, ma poitrine est serrée et j'ai très chaud aux mains.

Mon poing frappa la table en verre violemment, une première fois, puis une seconde fois plus brutalement.

Posant mes poings et debout face au bureau, le téléphone fixe est entrain de sonner.

Je souffle bruyamment.

— Où est-elle ? Demandai-je d'un ton froid.

— Pardon ? De qui vous parlez monsieur Alkez ? Reprit la femme de l'accueil.

Ma poitrine se gonfla. Je répond les dents serrées :

— À votre avis.

J'étais deux doigts de jeter ce fixe avec le reste des objets, ensuite descendre lui foutre une balle dans la tête.

— Ah, votre femme. Elle n'a pas encore quitter le building et...

Sans perdre une seconde je quitte mon bureau, la mâchoire serrée.

Je n'ai pas le temps d'attendre l'ascenseur encore plus longtemps, alors je descends les trois étages en prenant les escaliers.

Mon cœur battait de plus en plus fort.

Je vis Levgueni au loin avec une femme rousse, dès qu'il me vit il se précipita en ma direction.

— Un seul mot de travers et j'exploite ma colère sur toi de la pire des manières, le menaçai-je d'une voix ferme.

Ses yeux s'écarquillent, il déglutis puis lève ses mains en l'air.

Cœur Cendré TOME 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant