08 : Crazy in Love.

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Sofia Karlberg - Crazy in love.



Je leurs montre mon majeure.

C'est ce qu'on appelle un doigt d'honneur.

— Je t'avais dit de ne pas boire, tu ne m'écoute jamais, me dit-il en ouvrant la portière.

— Je n'ai bu qu'une gorgée.

Son souffle caressa mon cou.

— Qu'est-ce que je vais faire de toi, Nastya... dit-il en attachant la ceinture.

— Hé bien t'installer sur ton siège si tu veux pas que ces bouledogues nous mâches !

Il sourit à plein dent, ses deux fossettes se creusèrent complètement. Mon cœur s'est mis à battre la chamade, je voulais l'embrasser, sentir ses lèvres contre les miennes.

Je pense toutefois que le moment est très mal choisis pour penser à cela.

Il démarra la voiture avec vitesse, lorsqu'il détourna ses hommes avec celle-ci, mon corps se pencha sur le côté brusquement.

Mon humeur joyeuse devient dangereusement exubérance, sûrement a cause de l'alcool que mon corps a consommé prématurément.

Mes pupilles deviennent très lourdes, lorsque je ferme ceux-ci ma vue devient embuée, mais lorsque je cligne une seconde fois, ma vue devient comme avant.

C'était très étrange, je me sentais légère comme si j'étais sur le point de voler à travers les airs de cette ville froide illuminer par les lumières des immeubles.

Mon attention se porte sur le volant, pinçant mes lèvres et en contemplant les belles mains de cet homme.

C'est un homme très élégant et attirant, les veines sur ses bras étaient plus au moins très voyantes. Elles remontaient jusqu'au coudes.

Les manches de sa chemise étaient retroussées, ma conscience et mon entendement se perdirent stupidement dans son physique captivant.

— Tu penses à quoi ?

Mon regard se détacha de lui.

— À Mik, répondais-je aléatoirement.

Il ricana, son rire n'étais pas sincère, je pouvais le constater car ses fossettes n'étaient pas visible.

— Continue, et je le rayerai de ce monde.

Ma poitrine se gonfla.

— Tu as bu toi aussi ?

— Un peu, me dit-il. Je n'ai pas pris du plaisir autant que toi de boire en compagnie de quelqu'un.

Sa regard croisa le miens, il m'a fallut quelques secondes pour exploser de rire. C'était un bon fou rire qui me stimuler le cœur.

Après quelques minutes de rire aux éclats, mes abdominaux et mes muscles respiratoires commencèrent à me faire sentir leur existence.

Le rire qui m'avait attraper agit comme un massage à l'intérieur de mon ventre.

— Hares Alkez est peut-être jaloux ? Lui dis-je en rigolant.

Cœur Cendré TOME 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant