Cœur Cendré TOME 2

14 : The denial of love.

Ruelle - Secrets and lies.

Hares

J'ignorais ce qu'il m'arrivait, faisant connaissance effrontément et sans vergogne avec une sensation dissemblable, ne possédant aucun des caractères communs qui m'étais familier.

Tout ce que j'en avais conscience, me rendant compte, en le représentant mentalement d'une manière claire, est que cette femme avait un dangereux pouvoir sur moi.

Dangereux.

J'haletais face à son corps dénoué et débordant de désir, comme si il n'attendait que ma présence en lui. Ma bouche ne voulait quitter cette peau possédant une odeur addictive, pourtant si naturelle.

À cet instant, je me suis rendu compte à quel point cette femme pouvait être irrésistible.

Je ne pouvais pas lui résister encore longtemps.

Ma bouche se nourrit de folles espérances déposant des milliers de baisers sur sa peau sans imperfections, elle est tellement parfaite.

Sa peau m'appelait, à ce moment là, le temps s'arrêta et son putain de corps tout entier m'appelait.

Ma main se referma sur son sein droit aussitôt avant de venir le goûter éperdument, sa respiration s'alourdit quand ma langue caressa ce dernier avant de venir le suçoter.

En prenant mon temps.

La pointe de son sein se durcit, sa peau entière frissonna, tout comme le mien. Mes doigts s'enfoncent sur sa hanche l'invitant à se rapprocher d'avantage.

Elle est très réceptif.

Au point même de sentir que la serviette était sur le point de tomber, et d'exploser devant mon membre qui se durcissait de plus en plus.

Putain. De. Merde.

Mon coeur battait extrêmement vite, comme le sien que je pouvais l'entendre. Ce qui m'amusa très fortement.

— Tu sens si bon, soufflai-je en la regardant jeter sa tête en arrière.

Un gémissement traversa ses lèvres lorsque je donnais un dernier coup de langue sur sa poitrine.

Ma main passa derrière sa nuque, la forçant à me regarder.

Mon pouce caressa sa lèvre inférieure.

— Regarde moi faire.

Ses yeux se posèrent sur moi, la vision de ses lèvres rosés entrouvertes me rendant complètement fou, augmente mon envie de déchirer cette putain de robe.

Et de la prendre. Maintenant. Sur ce vasque en marbre qui sert de lavabo.

Sans lui laisser le temps de souffler, je presses mes lèvres sauvagement, nos langues se rencontrèrent de la même manière, passionnément.

Mes mains remontèrent sa robe jusqu'à son nombril, ce qui me donna une vue agréable sur le seul tissu cachant sa féminité que j'avais une soudaine envie de dévorer.