Princesse Anju

Chapitre 1 - La Lettre

Dans un magnifique royaume entouré de verdure, de champs et de nature. Vie dans un palais modeste un roi et son épouse, entourée de leurs deux enfants légitimes. Cependant, il y a aussi les enfants illégitimes mais reconnus de ce roi, qui vive à leurs côtés. Telle une belle et heureusement famille. Dans la première née de ces enfants légitime, on fait la connaissance de Rose-Héléne, une jeune femme de 33 ans, marier à un compte, elle-même mère de 3 enfants.
Suivis du seul garçon né de ce roi, son fils unique, et héritier de ce trône tant convoité ... Roméro, beau et charismatique, il fait tourner les têtes et les femmes. Bien qu'il n'ait aucune épouse, celui-ci a déjà donné la vie à une dizaine d'enfants avec des servantes, des paysannes et même des catins des bas-fonds.
Dans les autres descendantes du roi, bien qu'elle soit reconnue mais pas de la reine ; on retrouve l'enfant du peuple ... La belle et sublime Esponya. Beauté divine, elle est la 2ème fille de sa majesté Edwin. Elle est grande, élégante, douce et surtout elle serait la maîtresse du divin tigre blanc, animal de légende qui apporterait protection, puissance et force à son maître.
Ensuite, les triplettes du roi. Ruby, Jade et Saphir ... C'est trois jeunes et belles princesses, sont bien moins élégantes et attirantes qu'Esponya. Cependant, dans la grande différence avec elle, elle reste néanmoins belle et intelligente.
Bien que cette famille ce présenter composer de 8 membres, il n'en n'est rien.
Là, dans la partie EST du palais, dans une sorte de mini-château, se trouver la dernière princesse. À peine âgée de 17 ans, celle-ci était née d'une servante du palais, violet par le roi et tuée par la reine, le jour même de la naissance de l'enfant. Cet enfant, aujourd'hui grand, s'appelait Anju. Et bien qu'elle eût reçu, une éducation minime, et avait toujours ignoré par son père le roi, et maltraité par sa belle-mère la reine. Souvent battue étant enfant, ce sont les servantes et servants du palais qui prirent soin d'elle chaque jour, lui apprenant à lire correctement, à écrire, et cela quand ils pouvaient. Mais ils lui apprirent aussi à faire de nombreuses choses, comme cuisiner, faire le ménage, coudre et simplement vivre de manière autonome.
Cependant, son rêve depuis toutes jeunes était d'un jour de pouvoir participer aux festivités de la cour, être là, avec eux et fier d'être enfin aimé. Cela était bien arrivé une fois par le passé, quand elle avait seulement 13 ou 14 ans ... Mais sa belle-mère l'avait arrêtée, et battue dès le lendemain dans le donjon du palais, pour la punir d'être sortie de sa mini-résidence.
Depuis ... Elle n'avait plus jamais osé s'approcher du palais.

Aujourd'hui, nous sommes le 14 février. Des lettres arrivent au palais comme chaque année, pour le jour de la fête de l'amour. Cependant, cette année et différente ... Car, c'est ici que notre histoire commence. Marchant dans le couloir d'un pas pressé, le roi Edwin âgé de 67 ans ; semble très nerveux et ravis, tenant dans sa main une lettre avec un sceau de cire. Faisant ouvrir les portes du salon, celui-ci s'exclama avec force :

_ Mes filles ! Voici une magnifique nouvelle ! Annonce-t-il fièrement, ces filles se tournant vers lui.
_ Oui père ? Questionna la belle Ruby, repoussant ces longs cheveux dos dans son dos.
_ Père ! C'est une lettre de l'empereur ! S'exclama Safir, en ayant remarqué le sceau impérial sur la lettre, que tenait son père.
_ Dites-nous ce qui se passe, père. Dit avec grand calme, là sublime et envoûtante Esponya, qui regardent le roi avec beaucoup de respect et de douceur. Nous vous écoutons. Ajoutât-elle avec grâce.

Ouvrant sans attendre la lettre une nouvelle fois. Celui-ci ce mi à sourire tous en prennent une grande inspiration, pour parler fortement et distinctement :

_ Eamareï Koreï, Empereur de l'empire Ewïliriss, des terres de Kanoval, Elland, Mahaniwïrs et bien d'autres encore. Demande a son altesse royale, le roi Edwin Vilaomak, XII du nom. De ... Le roi continua son charabia durant quelques instants, sous le regard de ces filles et de son épouse, qui grimaçaient déjà d'énervement. Je souhaiterais, vous demandez votre bénédiction pour la main de votre fille, la douce, pure et magnifique Princesse Esponya. La princesse fit de grands yeux, choquer de ce qu'elle venait d'entendre. Mes plus sincères salutations et bonne réception. Finit-il avant de voir que le reste de la lettre, était un charabia de cordialité.