Princesse Anju

Chapitre 28 - Du grand spectacle !

Un torchon dans la bouche, la Princesse déchut Esponya et en sueur. Ses longs cheveux ce collant contre son visage, la Princesse et en plein accouchement. Poussant sur la demande des servantes et du médecin ... C'est au bout d'une petite heure a peine, que le bébé, venue enfin au monde. Tenant son bébé dans ces bras, la femme fut ravie d'apprendre que cette enfant était en bonne santé, mais surtout ... Qu'elle était une jolie et adorable petite fille. Câlinant son enfant, c'est cependant rapidement qu'elle devait agir. 
Wayuu, entra dans la pièce, avec un autre enfant dans les bras ... Un bébé sans vie, qui devait prendre la place de la petite princesse. Avalant sa salive avec un certain méprit pour cette enfant, la Princesse prit la parole avec un ton calme et relaxer.

_ Nous devons faire vite ! Elle regarda le tigre, et se dirigea vers la jeune mère. Je vais installer votre ... Fille dans son lit. Mon frère arrivera dans une heure, voire moins. Elle tourna la tête, ayant entendu l'arrivée de l'amant. Entré, je suis au courant que vous devez prendre votre fille. Dépêchez-vous ! Déclare-t-elle sans attendre, l'homme sortant de sa cachette et ce dirigeant vers son amour. Vite, ne perdez pas de temps.

_ Esponya ... Comment tu veux qu'elle s'appelle ? Questionne l'homme, en prenant l'enfant avec douceur, des bras de sa mère. 

_ Lilith. Dit-elle en regardant une dernière foi sa fille, caressant sa petite joue. Prend soin d'elle Killyan, surveille notre princesse ! Il fit un signe de tête, cachant l'enfant sous son manteau, et partie sans attendre de la chambre. 

Les deux princesses, regardèrent l'homme partir dans la nuit, emportant avec lui son héritier et celui de la Princesse Déchut. Soupirant en ayant mal à son cœur et âme de jeunes mamans, la Princesse Esponya était mortifiée de voir sa chair être éloignée d'elle de cette manière ... Elle l'avait tenue dans ces bras, à peine trente minutes. Tournant son regard plein de larmes vers la Princesse Wayuu, c'est avec courage et détermination qu'elle demanda a la femme.

_ Où vont-il aller ? Questionne-t-elle, en essayant de ne pas pleurer. 

_ Je ne peux pas te le dire ... On ne sait jamais. La Princesse Esponya soupira douloureusement, comprenant la prudence de la femme. Repose-toi, et ... Fait comme si tout aller bien. Ajout elle avec douceur, installant le bébé décédé, dans le berceau de la petite Princesse. A plus tard ...

C'est sans attendre que la Princesse Wayuu, sortie de la chambre d'Esponya, et se dirigeait avec bonne humeur et joie, vers le bureau de son frère. Il avait entendu que son épouse était sur le point d'accoucher, et avait entendu les pleure de ce nouveau-né. Cependant contrairement a sa bien-aimée et tendre Nëly, il n'était pas existé de savoir si l'enfant était une fille, un garçon, ni même s'il était ou non en bonne santé.
Entrant dans le bureau, la Princesse frappa trois coups poliment à la porte avant de vraiment ce diriger vers son frère. Elle remarqua que celui-ci était pensif, glacial ... Elle devait être prudente dans sa manière de lui parler. C'est sans attendre, qu'elle s'inclina respectueusement devant son frère, et annonça avec beaucoup de douceur et délicatesse.

_ Tu as une adorable petite Princesse, Koreï ! L'homme qui la fixait, n'eut aucune réaction. Je sais que ... Cela doit être difficile pour toi, mais ... Tu devrais quand même être heureux de savoir qu'elles sont toutes les deux en bonne santé. L'homme leva les yeux en l'air. Tu sais ... Elles ...

Avant qu'elle n'eût le temps de réagir réellement. Elle eût à peine le temps d'esquiver le lourd bureau et les objets qui contenaient, qui lui avait été presque jeté dessus. Au sol, la cheville blessée par la chute du Bureau, la Princesse avait hurlé de douleur et pleuré à présent à cause de sa cheville. La retirant difficilement de sous le bureau, elle sentit la présence de son frère près d'elle, elle tourna la tête sans attendre, et sentit une douloureuse douleur à la joue. Une autre vive douleur se fit sentie au côté opposer de son crâne, avec cette sensation de froid qui émanait du carrelage du bureau. L'homme, venait de violemment la gifler. Elle se redressa très lentement, sous le regard terriblement mauvais de son frère, qui la fixait avec rage et fureur. C'est à son grand étonnement, qu'il déclara avec haine et une froideur que l'air semblé être devenu comme l'homme, glacer.