Chapitre 3 - Tiranie et Martir

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Cela déjà deux jours, que le royaume d'Elland à étais envahi par l'empire d'Ewïlriss. Deux jours, ou le peuple semblent reprendre un nouveau souffle, bien qu'il se retrouve sévèrement punies par l'empire, qui n'hésite clairement pas à prendre une grande quantité d'ors, dans la trésorerie de la ville.
Cependant, le bras droit de l'empereur. Continue d'organiser la mise à mort de la famille royale, mais aujourd'hui. Il a enfin un peu de temps pour aller rendre visite, à la princesse cachée. Marchant dans les jardins du palais, ceux-ci se diriger vers le petit palais EST. Qui quand il le vit, fut choqué au plus haut point. Comment pouvait vivre une princesse, dans un tel endroit ? Là, devant lui, se trouver une sorte de petit château en ruine qui avait même une partie de sa toiture totalement effondrée. Il n'y avait pas de vitre aux fenêtres, et à certains endroits, on pouvait voir d'énormes fissures dans les murs, qui partaient des fondations jusqu'à la toiture. Bouche bée, il remarqua quelque chose qui attira clairement son attention. Là, sur un côté du petit château, se trouver de grandes planches qui semblent boucher la fenêtre. La princesse vivait-elle là ?
Soupirant avec un certain sang-froid, il se dirigea vers le palais, montant les premières marches qui étaient complètement délabrées. L'homme qui l'accompagnait et le suivait, avait tout aussi peur que lui, que ce château ne s'effondre à tout instant. Se guidant avec prudence, c'est avec méfiance qu'ils se dirigeaient vers la seule porte fermée. Le bras droit frappa à la porte, avant que quelqu'un n'ouvre. C'était une servante assez jeune, à la peau métisse, qu'il connaissait déjà de vue. Il savait qu'elle était fille de soldat, et normalement servante au palais des miroirs en Ewïlriss. Attrapant chaque côté de sa robe de servante, elle salua très élégamment le bras droit, le laissant entrer avec douceur et politesse. Là, assise en train de manger un bol de nourriture, la princesse fixa avec intrigue et questionnement le bras droit. Cependant, l'homme comprit qu'elle n'était clairement pas une princesse ordinaire. Il y avait quatre immenses bibliothèques, remplies de livre dans un coin de la pièce, qui cachait visiblement le lit de celle-ci, ainsi qu'une commode qui dépassait légèrement. D'un autre côté, se trouver cette fenêtre bouchée, avec les moyens du bord. Mais également, une sorte de poêle a qui était allumée, une petite quantité simple de réserve alimentaire. Mais ce qui surprit le plus, était qu'au centre de la pièce, qui était déjà bien rempli de meuble, se trouver une table avec deux chaises.
Avalant sa bouchée, elle se pressa de terminer son repas, qui semblait être une sorte de soupe. Elle posa délicatement son bol fait de bois, avant de ce lever, s'essuyer ses mains et sa bouche sur son tablier, et saluez enfin poliment le comte.
La jeune femme, était vêtue d'une robe assez courte comme une servante. Cependant, ces jambes n'étaient nullement nues ; celle-ci était couverte de grandes chaussettes, qui semblent être tenues par des pinces, très probablement proches de ces sous-vêtements. Sa robe, était cachée par un tablier blanc, qui couvrait le devant de ces cuisses, son ventre et une partie de sa poitrine. Cette robe, couvrez toujours et encore les épaules de la jeune femme, ces bras et le dessus de ces mains. Mais ce n'était pas tout ... Car sous sa robe, elle semblait avoir une sorte de chemise ou de chemisier, qui cachait jusqu'au cou, sa peau. Elle n'avait vraiment ... AUCUNE allure. La fixant, l'homme soupira, pendant que la jeune femme le fixait avec innocence et inconscience. Il se dirigea vers la chaise libre, et s'assit sans demander l'avis de la jeune femme, alors même que l'homme qui l'accompagnait, attendait silencieusement :

_ Tu as quel âge ? Questionna le homme sans prendre de gant envers elle, estimant qu'elle devait au moins avoir ... 19 ou 20 ans comme sa sœur Esponya.

_ Euh ... J'ai 17 ans Monsieur le comte. Déclare-t-elle timidement, presque en murmurant, choquant au passage l'homme, qui fit de grands yeux. Pourquoi cette question ? 

_ C'est moi qui pose les questions. Déclare-t-il vivement et sèchement.

C'est sans attendre, qu'elle baissa la tête, honteuse d'avoir fait quelque chose de déplacé. Rougissant sans attendre, elle chuchota avec sa grande timidité : " Veuilliez m'excuser Monsieur le comte. " L'homme qui l'observait avec la plus grande attention, sembler voir de nombreuses choses sur elle, bien qu'elle essayât d'en cacher un grand nombre. Continuant de la fixer de son lourd et imposant regard, le comte reprit la parole avec un ton sec et clairement peu aimable :

Princesse AnjuOù les histoires vivent. Découvrez maintenant