Princesse Anju

Chapitre 30 - L'immonde

Le mois d'octobre passe doucement, mais déjà ... Celui-ci touche bientôt à sa fin. La Princesse déchue Esponya, n'a jamais revenu son amant de toujours, et regarde souvent à la fenêtre le vaste monde, ce demandant où se trouve exactement son bébé, sa princesse ... Lilith.

Dans les rues sombres d'une ville portuaire de l'Empire d'Ewïliss, Killyan empêche sa fille de pleurée. A son visage épuisé, on peut facilement comprendre que l'homme dort très peu, mais aussi, que la colère le ronge de plus en plus. Descendant des petites marches, avant d'entrer dans ce qui ressemble a un égout. Il arrive avec l'enfant dans un lieu malfamé, remplis de personnes qui vivent dans la débauche, l'alcool interdit, la vente d'être humain, de bijoux, de créature et tout un tas d'autres choses illégales. Retirant sa capuche, et le foulard qui cachait son visage, l'homme sans attendre, attrapa l'enfant pour le mettre face à lui, et hurlât sur celle-ci, qui ce mis à hurler en pleurant de plus belle : "LA FERME ! LA FERME ! JE N'EN PEU PLUS !". Il avait tellement envie, de fracasser son enfant tête la première, pour ne plus à devoir s'en occuper. Mais tandis qu'il lui hurlait et était au point, d'en venir aux mains sur sa fille âgée d'à peine un mois ... L'homme senti une lourde et ferme main, l'attraper par l'épaule. Il tourna légèrement la tête, prêt à agresser celui qui venait de le toucher, mais en reconnaissant cette main, il fut choqué. Tombant en arrière en tenant contre lui sa fille qui continuait de pleurer, Killyan regardait l'homme qui se tenait devant lui. Tenant de sa main gauche, deux femmes à demi nue faisant partie de la grande famille des Elfes, l'homme était protégé par deux gardes du corps, qui tenaient chacun deux énormes chiens de guerre, qui grognée et semblaient avoir la rage, tellement qu'ils bavaient d'excitation de pouvoir déchiqueté de la chair fraîche.
Avalant difficilement sa salive, l'homme commencé déjà ç avoir des sueurs froides, tandis que sa fille continuée de hurler en pleurant, réclamant l'amour et la protection de sa mère. L'homme qui le regardait de ces yeux jaune vif, fixer l'enfant en pleure et sembler intriguer. Esquissant un léger sourire, l'homme fit un claquement de doigts, faisant taire les molosses d'un coup. Montrant sa paume de main, celui-ci regardant Killyan fixement et imposant sa personne, prit la parole d'une voix sèche et suave.

_ Que fait dont un père, avec son rejeton ici ? Tu ne devrais pas, gamin ramener ce bébé auprès de sa mère. Killyan, savait que l'homme devait à tout prit être respecté ; il ne pouvait lui répondre sur un ton désagréable, comme il l'aurait souhaité.

_ Pour être honnête ... Monsieur Dislenders. Si cette gamine retourne avec sa mère, elle se retrouvera décapitée par son beau-père. L'homme qui écoutait et fixer Killyan, fit un sourire, amuser visiblement.

_ Cela n'explique pas ce que tu fais ici, gamin. Répétas plus, clairement l'homme, sous le regard discret des deux femmes à demi nue.

_ Je ... Killyan, ne savait soudainement pas s'il devait dire ou non, la vérité ; il avala sa salive, ayant pris une décision rapide. Je veux me débarrasser d'elle ! S'exclame-t-il, l'homme le fixant. Je voulais un fils moi, et je me retrouver avec ... ça ! Ajout il, sa fille continuant de pleurer et de bouger le plus possible, ce sentant mal avec son père. Une gamine, brailleuse qui m'empêche de vivre, de dormir et d'être en sécurité ! Qu'elle aille au diable, je n'en veux pas ! Annonce-t-il en regardant avec un air mauvais sa pauvre fille, qui ne demandait qu'une chose ... de l'amour. 

L'homme, qui garder son air glacial claqua des doigts, et l'une des femmes sans même qu'il n'ait dit le moindre mot, s'avança. Celle-ci se dirigea vers Killyan, et tendu ces bras avec calme. Killyan la fixait avec questionnement, avant de lui donner la petite, avec aucun réel soin ou délicatesse. C'est sans attendre que la femme, très douce et délicate avec la Princesse, commença à la calmer en chantant une jolie chanson elfique. L'enfant commença enfin à se calmer, tandis que l'homme aux yeux jeune, nommée Dislenders ; prit avec froideur la parole.