Chapitre 13 - Je suis Duc

15 3 0
                                    

___________________________

ATTENTION

Le chapitre est long, et explique de nombreuses choses. Lisez-le avec attention, quitte à le relire. Navrée d'avoir fait aussi long, mais je n'avais pas le choix ...
Bonne lecture

____________________________

Quelques instants, après l'arriver des jeunes filles au thé de la Princesse : 

De son côté, le Duc voire arriver les deux Marquis et le Comte, viens poliment saluer le Duc. Les trois hommes, s'installent à une place autour de la table, après avoir poliment serré la main du Duc. L'ambiance et lourde, et le Duc, n'aident clairement pas à l'allégement de cet air, avec sa carrure charismatique est son imposante prestance. L'assistant qui était là, comme la servante se tenait silencieusement derrière son maître. Il avait un nœud à l'estomac ... C'est alors, que le Marqui Wiaruu Rollwald, prit en premier la parole. L'homme, qui était avec un gros ventre, sembler être vraiment un bon vivant, qui savait parfaitement tirer les ficelles de la flatterie.

_ Je suis vraiment honoré d'avoir reçu une invitation, de la famille Iaga. Le Duc le regardait, silencieux. Autre foi vos étiers une famille très prestigieuse et beaucoup ont crû, que votre nom était éteint. Mais je constate avec joie, que cela n'est heureusement pas le cas.

_ Je m'en vois également ravie. Ajouta sans attendre, le Comte Konawa, le père de Lÿs.

L'homme était assez musclé, se tenait très droit et avait de très longs cheveux châtain foncée, tresser avec soin. L'homme d'ailleurs, n'avait contrairement à ces deux compères, aucune pilosité faciale. Ce qui lui donnait clairement un air plus jeune que les deux autres.

_ Je suis honorée de faire votre connaissance ... Ce fut feu mon grand-père, qui côtoyait autrefois votre famille et qui tenait la direction familiale. Et je suis donc, flatté ... Que notre nom n'est pas été oublié par Monsieur le Duc. Annonce-t-il, tandis que le Duc continué d'écouter regardant son assistant, commencer a servi le café.

_ Je suis tout autant ravi, et je pense étonner que mes deux compères, aient oublié de le souligner, d'avoir reçu une invitation en votre nom et famille. Annonce avec froideur et un regard fin et mauvais, le Marqui Bakaï. Car comme l'a déclaré Monsieur le Marqui Rollward. Votre famille était considérée comme ... éteinte ! Ajoutât-il tout aussi froidement, le Duc ressentant l'hostilité de cet homme et son mécontentement qu'il essayait de dissimuler. Cependant, je suis ravi de constater également, que cela n'est point le cas. Cela va nous permettre de renforcer nos pouvoirs et richesse respective ... Le Duc souris, attrapant sa tasse de café, pour la porter élégamment a ces lèvres. En plus ... Que vous ayez demandé à convier nos filles pour ce rendez-vous, n'est que signe d'une bonne chose. Ajout il, convaincu comme les deux autres, que le Duc compté épouser une fille de bonne famille.

Buvant une gorgée du café que venait de servir le Duc, celui-ci posa sa tasse avec soin dans sa coupelle. Avant de relever la tête, continuant d'écouter la conversation, le Marquis Wïaruu ... Ayant repris la parole, suite au soulignement annoncer, du Marqui de Bakaï.

_ C'est vrai cela. Il tourna la tête vers le Duc, qui le fixait avec calme. Qui nous dit, que vous êtes bien un véritable Iaga ? Questionna l'homme, avant d'ajouter vivement. Sans vouloir vous offenser Monsieur le Duc, il y a us tellement de rumeurs que peut-être ... Vous n'êtes qu'un usurpateur ! Annonce-t-il sèchement, commençant soudainement a montré son vrai visage.

_ Il en serait malheureux ! Déclara sans attendre et en se levant d'un bond, le Comte Konawa. Je refuse que ma fille, vienne à épouser un usurpateur ! Cria-t-il en commençant à s'éloigner de la table, comme pour partir.

Princesse AnjuOù les histoires vivent. Découvrez maintenant