Chapitre XLIII

1.2K 76 36
                                    

Ce chapitre contient la présence de lemon
Je vous déconseille de lire si ce sujet est sensibles ou encore si vous avez moins de 15 ans.
Je préviendrai pas ce signe [°⚠️🍋°]
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que vous lisez. C'est à vos risques et péril.
Sur ce, bonne lecture.

___________________________________________________

Une fois arrivé au ruisseau, Bakugo sauta dans l'eau en m'éclaboussant. Je ris et lui sourit, recoiffant rapidement ses cheveux tombant devant ses yeux alors qu'il s'était accoudé a la berge.

-Vient, me dit-il en attrapant ma manche.

- Je ne suis pas encore déshabillé.

- Alors dépêches-toi.

- Katchan... Je peux pas les enlever.

Le blond soupira avant de tirer mon bras, me faisant tomber dans la ruisseau avec une exclamation de stupeur.

Je remontais à la surface furieux alors que le prince riait à gorge déployée.

- Ce n'est pas marrant !

- Il fallait bien que tu te laves. Et tu sais que même si tu a des cicatrices ou des marques ou quoi que ce soit je te trouverai toujours magnifique.

Je tordais ma manche un instant, soupirant, avant de déboutonner ma chemise que je jetais au bord de la berge. Puis mon pantalon suivit. Le prince put clairement voir les marques violettes de mon cou faite la veille par Touya. Je posais mes mains dessus, sans vraiment de succès pour les cacher.

- Izuku...

- Je suis désolé.

- Ce n'est pas ta faute et tu le sais.

- Oui mais... Je les déteste.

Le blond sourit, déposant un baiser dans mon cou, sur une des marques.

- Tu seras toujours magnifique à mes yeux, même si ces marques ne sont pas les miennes.

Je le serrais contre moi, et il fit de même, enfouissant ma tête dans son épaule.

- Tout ira bien, maintenant que tu es avec moi je ne te laisserai plus. Je te protégerai.

- Merci Katchan.

Mon regard plongea dans le siens, et je lui souris. Nos lèvres se rapprochèrent et je frissonnais quand les siennes frôlèrent les miennes.

- Je peux...? souffla-t-il doucement en serrant ma taille.

- Oui... Fait-moi oublier...

Il m'embrassa délicatement alors que je serrais mes bras autour de son cou. Je ne voulais plus qu'il me lâche, je ne voulais plus me séparer de lui, plus jamais.

- Je t'aime. Je t'aime tant... me dit-il en décollant ses lèvres, nos yeux toujours fermés.

- Je t'aime aussi.

Il m'embrassa encore, avec une douceur que je ne lui connaissais pas. Je sentais à peine ses mains dans mon dos, ses lèvres pressant à peine les miennes. Je savais qu'il voulait s'y prendre en douceur après tout ce qui m'était arrivé, et cela me donna des papillons dans le ventre. J'intensifiais ce baiser, le serrant toujours plus.

- Katchan... Mes harmonisations vont arriver, je dois le faire. Tu dois redevenir mon partenaire.

- Tu es sûr ? Je ne veux pas que... Tu te forces.

Tu es miens mon princeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant