Un doux bonheur

Chapitre 1

Hello ! Je vous remercie d'avance de lire mon écrit, j'adore ça, mais en toute honnêteté, j'ai des lacunes en orthographe, je mélange parfois les temps et fais des fautes d'inattention ou d'orthographe et je m'en excuse d'avance. Je vais m'améliorer et me relire ++ pour vous assurer une qualité de lecture !

Belle lecture à vous !

Mary 5 ans

L'amour est une chose complexe, ça peut faire peur d'aimer quelqu'un, et pourtant, nous y ferons face tout au long de notre vie, et on le ressent très tôt. Ça se passe dès notre venue au monde, un amour partagé entre nous et notre mère, ce lien si précieux. Malheureusement, tout le monde n'a pas cette chance, et j'ai envie de croire en la vie, qu'elle puisse nous offrir des belles rencontres qui nous apporteront ce bonheur dont nous avons été privées si injustement.

J'ai eu la chance d'avoir une mère et un père qui m'attendait avec impatience, je voyais en cette mère une douceur infinie et mon père un véritable héros. Nous avons vécu toute sorte d'aventure tous les trois, mes premières chutes, mes premières bêtises, des tours de manège à n'en plus finir et nos escapades au parc que j'attendais avec impatience. C'est là où je l'ai rencontré, cette personne si spéciale qui, je l'ignorais, deviendrais si importante.

Un petit garçon blondinet, du même âge que moi, il avait un sourire qui réchauffe le cœur, et ses yeux gris avaient le don de me transpercer jusqu'au tréfonds de mon âme, comme s'il pouvait lire toutes mes pensées. Et moi, avec mes bleus sur les genoux, et mes yeux noisette, j'étais quelconque à côté, mais j'avais une fierté, c'étaient mes cheveux bouclé, blond comme les blés et doux comme de la soie. Ça contraste merveilleusement bien avec mon attitude bourrue et rentre dedans.

- Mary ! J'ai cru que tu n'allais pas venir, me dit-il en me voyant rentrer dans le parc.
- Moi aussi... Dis-je soulagé de voir son visage.
- Qu'est-ce qu'il y a ? me demande-t-il en voyant mon expression penaude.

Je grandissais, et je me rendais compte que les choses changeaient à la maison, mes parents était de moins en moins présents. Au début, je pensais que c'était leurs travail qui les rendait absents et distants. Mais j'ai entendu ma mère pleurer dans la salle de bain, ça m'a glacé le sang, puis j'ai entendu une conversation un soir où il pensait que je dormais. Ils parlaient de cet enfant qu'ils n'arrivaient pas à avoir. Ma mère, au fur et à mesure des mois, était parfois de bonne humeur et à d'autres moments, elle s'enfermait dans sa chambre seule pendant un long moment.

J'ai commencé à avoir peur, pourquoi vouloir autant un autre enfant alors que j'étais là ? J'étais trop petite pour comprendre, j'ai, de ce fait, commencé à avoir des terreurs nocturne, à me réveiller la nuit, réclamé mes parents, puis dès que maman n'allait pas bien, je mangeais moins, j'avais un nœud à l'estomac.

- Mon papa et ma maman n'arrête pas de se disputer...

Une boule se forme dans ma gorge et mes larmes se mette à couler le long de mes joues. John me regardait, impuissant, il fini par me prendre dans ses bras, et ça me faisait du bien. Ça me réconfortait, il n'y avait que lui pour avoir cet effet là sur moi.

Mes parents ensuite, ce sont séparé, ma mère n'arrivait pas à avoir cet enfant si désiré, mon père n'arrivait plus à supporter la pression. Leur couple ses fissuré puis a fini par se briser.

La bonne nouvelle ? Nous sommes devenus les voisins de John ! Évidement, j'étais malheureuse du changement qui s'opérait dans notre famille, mais j'ai senti que ma mère, après avoir était au bord du précipice, c'est relevé plus forte que jamais. Et c'est devenu elle, mon héros, j'ai fini par retrouver un sommeil serein et un appétit convenable.