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--Aïe.... Hurla la jeune femme, tandis qu'il soignait sa blessure.

--Arrête de bouger Eimear.

--Ça fait un mal de chien..

-- Oui et t'as pas voulue m'écouter.

Elle le fusilla du regard, après que Jae eut terminé de soigner sa blessure, effectivement, elle aurait dû l'écouter.

-- C'est pas de ma faute si je suis têtue, j'aime ceuilir moi même mes pommes. Et je pari que t'es un très mauvais ceuilleur.

Il sourit face à cette remarque, elle sourit à son tour.

-- Tu as raison, je suis pas doué dans se genre de métier, je ne suis qu'un détective. Lâcha t'il en haussant les épaules.

-- Je vois.

-- Tu as aimé ton henné? J'ai remarqué que c'était la main tatouée qui a été victime.

Oui, Elle l'avait remarqué... Heureusement que sa blessure l'empêchait de voir la lettre affiché dans sa paume. Elle, elle le savait. Mais elle ne le dirait pas.

--C'était quelle lettre ? Demanda t'il.

-- Quoi ? Dit elle sans comprendre.

-- Tu as parfaitement entendue ce que j'ai dis.

-- Non, désolé.

Jae sourit, il aimait quand elle fesait semblant de ne rien comprendre juste pour évitée le sujet à vrai dire... Il aimait tout de cette femme. De sa chevelure noir jusqu'à la profondeur de son âme.

-- Parle moi de te fille. Demanda t'elle soudainement, qu'il parut bien plus étonné qu'elle.

Elle voulait changer de sujet, mais elle n'avait rien trouvée d'autre que ça...

-- Il n'y a rien à dire, c'est ma fille... Et je l'aime.... Énormément. Répondit il l'air pensif.

-- Et.. Sa mère? Ne pût s'empêcher Eimear. Elle n'avait toujours pas oubliée que deux semaines plus tôt, il affichait un caractère qui la déplaisait. Et depuis qu'ils avaient apprit à se connaître, il était un peu plus détendu, mais parfois il était perdu. Elle n'avait pas osée lui demandé ce qui n'allait pas, mais peut être ce soir elle avait la chance?

-- Je sais pas... Sun-hi dès fois... Je ne la comprend pas.

-- Mais pourtant tu l'aimes. Ce n'était pas une suggestion qu'elle venait de faire, elle attendait des réponses à cette question qu'il préféra dédaigner.

Aimait il encore sa femme? S'interrogea Jae, lui même ne connaissait pas la réponse.

-- C'est beaucoup plus compliqué que ça en a l'air.

Il prit une gorgée de vodka, avant de la scruter toujours avec ce regard intense, qui la fesait frémir à chaque fois. C'était clair. Jae était l'un des hommes les plus beaux qu'elle avait rencontrée...enfin Il était le plus beau ... Non, il ne fallait pas comparer Jae à lui. Jae était sa paix. Lui il était son pire cauchemar.

--Elle m'a demandée le divorce lâcha t'il. Quand elle a sû qu'on partait pour Marrakech, elle n'a pas pu le supporter parce qu'elle a cette jalousie de malade qui la pousse a croire que... il s'arrêta avant de commettre une bêtise.

--Que? Insista t'elle

Elle n'était pas surprise, elle avait sentit que son humeur agaçant était lié à sa femme. Jalouse? Serait ce d'elle? Pourquoi? Elle n'avait rien à être enviée, elle était mariée son mari la battait alors que le sien la choyait... Alors pourquoi l'envier?

-- Elle pense que je suis attiré par toi.

Voilà, l'était il?

--Eh... Tu les a signé?

Son coeur battait à l'attente d'une réponse, de toute sa vie elle n'avait jamais été aussi stressée qu'elle ne l'était ce soir là, elle attendait une réponse qui pourrait la rende heureuse et malheureuse dans les deux cas, mais peu importait, elle voulait savoir.

-- Tu veux vraiment savoir ?

Elle hocha la tête prête à éclater en milles morceaux.

Cette fois Jae avala sa dernière goutte en venant se placer devant elle. Assise sur le tabouret du bar, rien ne l'intéressait que la réponse qui allait à la minute franchir les lèvres de Jae. 

-- Oui, Oui j'ai signé ce maudit papier de divorce, parce que même si je ne peux l'admettre, elle a raison, tu m'attires, non je dirais que c'est plus que ça Eimear, tu es comme cette fleur dont les épines font du mal, mais que j'ai vraiment envie de toucher. Tu es cette femme fragile mais irrestible que je deviens complètement parano quand je me retrouve face à toi. Je suis comme hypnotiser, tu m'as captivé. Je peux pas passer une seule seconde sans penser à toi, sans te regarder sourire, sans... Tu ne fais pas que m'attirer, Eimy... Tu m'as ensorcelé. Je me retrouve prisionnier à tel point que je ne peux me défaire de toi. Je veux être la cause de ton bonheur, de ton sourire, et même s'il faut que j'affontre ce monde stupide qui t'a ôté tout ce sentiment de sécurité, d'affection, et d'amour ... je le ferais. Oui j'ai signé cette feuille parce que ton bonheur compte énormément pour moi, plus que mon mariage qui était déjà à moitié terminer lui même... Tu... Bon sang...

Jae en avait assez de tout le temps se retenir de capturer cette bouche à chaque fois qu'il avait l'occasion.. il voulait la prendre, il voulait l'embrasser toute la nuit s'il le fallait, il ne désirait rien de plus que l'embrasser... encore et encore sans retenue... c'est ce qu'il fit. Il porta sa bouche à la sienne, transperçant sa bouche avec sa langue, allant et venant. Elle ne l'avait pas repoussée, comme s'il elle s'y attendait. Il l'attira contre lui, pour appronfir leur baiser, entremêlant leur langue encore et encore dans cette douce cadence... les mains enfouies dans ses cheveux, il voulait plus, il voulait la déshabillé et la baiser, ici, dans la cuisine. Peut être que cela arriverait après, mais là maintenant, il savourait le goût de sa bouche qui remuait encore contre la sienne avec la même passion, le même envie, doucement il la débarrassa de son chemisier qui lui servait de châle, tandis qu'elle fesait émir des petit gémissement contre sa bouche. Il adorait cela. Il aimait le goût de sa bouche, il aimait la façon avec lequel en enfouissait ses doigts dans ses cheveux, le fesant gronder de plaisir... Oui, il adorait tout de cette femme.. exactement tout. Il la souleva pour la déposer sur le plancher du mini bar pour être plus confortable, comme un bébé, les yeux fermés, elle se laissa aller contre lui avec le même envi.. Elle voulait qu'il la prenne là, elle voulait le sentir en elle.. mais était elle encore prête pour cela? Non... Elle voulait vraiment s'abandonner à lui. Qu'il lui fasse tout ce qu'il voulait d'elle sur ce plancher qu'il la prenne partout s'il le fallait... mais pas maintenant... Ce n'était pas le moment... Doucement, elle se défit à contre coeur de ses lèvres. Front contre front, ils respiraient gardant les yeux fermés, pour ne plus les ouvrir, aucun d'eux ne voulait mettre un terme à cet instant, mais ils le savaient. C'était pas le bon moment.

-- Tu peux me gifler autant que tu le voudras jamais je n'dirais que je regrette et que je suis désolé. Chuchota t'il caressant le front de la jeune femme contre le sien.

-- Je te l'ai pas demandé. Lâcha t'elle en s'emparant une derrière fois de ses lèvres.

LE POIDS DU DESTIN Où les histoires vivent. Découvrez maintenant