LE POIDS DU DESTIN

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--Bordel ! Bordel ! Cria Eunji le yeux rouge devant l'écran de son ordinateur.

-- Comment cette merde à t'il pu arrivé? Gronda t'il à Brad qui était venu lui annoncé la nouvelle.

-- Je l'ignore patron, on a reçu l'ordre ce matin que vous aviez fait  un virement de trois cent milles dollars pour les distribués dans des orphelinats... Et cinquante milles.. distribué chacun sur des comptes qui me laisse perplexe, ceux de vos deux ex femmes...

Eunji fut envahi par une colère encore plus dangereuse que la première fois.

-- Trouve moi le connard qui a fait ce Merdier et bute le. Ordonna t'il en se laissant choir sur son fauteil.

Eimear sourit derrière la porte, Il n'était qu'au début pensa t'elle en entrant dans le bureau en fesant mine d'être profondément inquiète.

-- Tout va bien? J'ai entendue des cris...

-- Oui, ça va, le travail me tape sur les nerfs.. Lâcha t'il en vidant son verre de vodka.

Intérieurement elle était fier de Jae. Quand elle lui avait demandé de trouver les deux ex femmes Eunji, il avait fait ça en rien d'une minutes, ensuite il avaient créé un compte qu'ils avaient réparti en deux en distribuant presque la moitié de l'argent d'Eunji en leurs noms. Et l'autre moitié quand il lui avait demandé ce qu'elle voulait en faire... Elle avait décidée de le donner à des orphelins   qui étaient dans le besoin... Personne ne pouvait soupçonner que c'était elle ou peut être Jae qui était à l'origine de ce virement.. Tout à été fait avec son numéro de compte, ainsi que son mots de passe.. Et Au cas où il aurait envie de changer d'idée... Elle avait fait en sorte que cette décision soit irrévocable.... Eunji était à sa fin avec ses deux milles dollars qui restaient sur son maudit compte.. Elle était au comble, de le voir si effrayé d'être fauché.

-- Tu veux que je te prépare quelque chose à boire, histoire de te calmer....?

-- J'ai pas besoin d'être calme, j'ai simplement besoin d'être seul, tu peux me laisser seul je t'en prie?

--Oui... si tu veux.. Je serais à côté. Dit elle en s'éloignant en sifflant de joie.

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--- Tu aurais dû voir sa tête. Il n'arrive pas à croire qu'il est fauché! Exclama t'elle en parlant avec la seule personne avec qui elle pouvait parler sans gêne.

--C'était le but.

-- Oui, tu as raison.

-- Pourquoi tu n'as rien prit? Pourtant tu en avais aussi le doit. Demanda Jae.

Elle eu un instant de silence avant de répondre.

--L'argent ne m'importe pas, Jae. Cela ne pourra pas effacer ses deux années de souffrances... cela ne pourra pas me rendre les enfants que j'ai perdu. Et jamais je ne voudrais le pognon de cet homme... Jamais... Mais je pense que les deux épouses qu'il avait eu auparavant aurait grandement plus besoin que moi... Elles n'auront pas à savoir d'où cet argent peu bien provenir...

Elle reniflait, il le savait, mais à l'écouter dire ses choses.. Jae fût fier de la femme forte qu'elle était. Et toute cette générosité qu'elle avait en elle... Elle méritait mieux dans la vie. Jamais elle n'aurait dû rencontré ce fripouille de Eunji... ou encore moins Fabricio.... Non. Cette femme était en or... Alors elle devrait être la chose pour laquelle on était prêt à mourir juste pour la garder en sécurité à l'égard des mauvais oeils..

-- Tu es là? Questionna Eimear en séchant ses larmes.

-- Oui, mon amour, je suis là. Lui Dit il.

--J'aime quand tu m'appelles comme ça... j'ai l'impression d'être une prunelle à tes yeux...

-- Tu es une prunelle, ma prunelle... Allez, repose toi tu dois encore affronté le fils de pute...

-- Il reste que deux jours... deux jours Jae...

-- Oui, ma belle, deux jours, et tout cela sera derrière toi mon ange, et je serais toujours là pour veillée sur toi..

Elle était tombée dans mes bras de la Morphée en écoutant Jae lui sursurer des mots doux... Comme si elle était la plus importante pour lui... Bien sûr qu'elle l'était. Il l'avait montré constamment au fur et à mesure... Elle le croyait, elle avait aussi confiance en lui assez pour aller partout tant qu'il était là, mais l'aimait elle?

--Bonjour Madame, Mr Jung m'a chargé de vous habillez afin que vous le rejoignez sur la terrasse.

--Bien, est ce urgent ?

-- Je l'ignore madame.

A la hâte, elle s'empressa de faire sa toilette, pour ensuite le rejoindre. Quand elle arriva, Mr était sur son trente et un et souriait comme d'habitude un sourire qu'elle trouvait affreux.

-- Ah, je suis tellement heureux à chaque fois que je vous vois marcher vers moi.

Vraiment? Pourquoi cette joie? Avait il percé son secret?

-- Puis je savoir pourquoi vous semblez si content?

-- Ah rien d'important, un problème que j'ai résolu.

Comment ça?

-- Est ce en rapport avec hier matin? Tu étais très furax.

-- Oui, d'ailleurs je tenais à m'excuser pour ce comportement... inapproprié. Le problème de hier soir ne s'est pas résolu, mais je croyais que c'était la fin... Mais par chance je suis encore plus fortuné que ça.

Elle fit mine de ne pas comprendre.

--Bref, ne vous inquiétez pas ce n'est rien de méchant.

--Bien et qu'allons nous fêtés?

-- Je viens ce matin de conclure un marché, qui m'a rapporté beaucoup d'argent. Bien entendu, je n'ai pas encore tout finalisé mais cela ce fera... très tôt... Ce matin nous allons dîner... Ensuite..  Je vous ferai l'amour comme vous ne l'aviez jamais fait avec votre mari, je vous ferai l'amour pendant tout le reste de la journée, et même durant la soirée, et le lendemain, vous deciderez si vous voulez que je reste votre amant ou pas.

Quoi? Non... les choses dérapaient de quel marché parlait il? Et quand est ce que ce marché allait il finaliser? Et pour parler de la fin de la journée... Non.. Jamais elle ne permettrait que cet homme lui fasse l'amour! Elle avait qu'un seul moyen de détruire Eunji, entre dévier tout son travail, et lui faire vivre un enfer dans sa propre maison, jamais elle n'accepterait qu'il gagne jamais elle n'accepterait qu'il fasse une autre affaire. Elle savait que tout ce qui comptait pour cet homme sans pudeur et froid c'était son argent. Elle l'avait ruinée une première fois, Elle devrait le ruiner encore une fois cette fois ci, pour de bon elle devrait le laisser sans une miette pour qu'il tombe dans l'amertume totale, même si cela n'effacera pas tout le mal qu'il lui avait fait.. Mais c'était sa façon à elle de le punir.