Un pas pour l' amour

Chapitre 22 : Vacances en amoureux et chamboulement...

Je suis donc arriver chez Benjamin, toute contente dans la voiture, pensant à la semaine qui nous attendaient.

J' avais le sourire aux lèvres, un peu bêtement je dois dire, mais j' étais tellement heureuse.

Une semaine en amoureux. Nous allions fêter nos un mois en couple.
Nous avions l' impression d' être ensemble depuis des années, on se connaissais tellement par cœur l' un et l' autre. C' est vrai que si l' un comme l' autre nous aurions pris confiance d' avouer nos sentiments avant, cela ferait des années que l' on serais ensemble. Mais mieux vaut tard que jamais comme on dit.

Je suis descendus de la voiture, et alors que j' ouvrais le coffre pour récupérer ma valise, Benjamin sortait me rejoindre pour m' aider.
Il me prit dans ses bras et m' embrassa en premier.

- Enfin seul !, me dit-il doucement en souriant.

- Oui !, pas besoin de se cacher, de chuchoter pour te dire que je t' aime, lui dis-je en souriant et l' embrassant de nouveau.

- Moi aussi je t' aime tellement !

Il a porter ma valise, qui était à l' évidence beaucoup trop lourde pour moi. Lucas m' avait aider à la mettre dans la voiture avant de partir.
Il la déposa dans l' entrée.

- Tu veux qu' on aille ranger tes affaires maintenant pour qu' on soit tranquille ?, je t' ai fait de la place dans le dressing.

- Oh t' est trop mignon !, lui dis-je en mettant ma main sur sa joue. Juste, je veux faire ça avant...

Je me rapprochais un peu plus de lui et l' embrassait tendrement.

- Oh toi, je ne vais pas te lâcher de la semaine !, me dit-il en souriant, me tenant dans ses bras.

- J' y compte bien monsieur Pavard !

- Oh mais bien sûr, mademoiselle Hernandez !, ria-t-il.

Nous sommes aller vider ma valise, Benjamin m' a aider à installer les vêtements dans le placard et sur les cintres pour certains pour pas qu' il ne se froisse. Et il m' avait préparer un tiroir pour mes sous-vêtements. Je les avaient ranger dans une pochette à part, bien plier et il l' ouvrit pour ranger.

- Oh je ne le connais pas celui-là !, me dit-il l' air coquin en me montrant un joli soutien gorge de dentelle rouge.

- Eh monsieur Pavard !, ne soyez pas aussi curieux !, lui dis-je en souriant. Il se pourrait que j' ai acheter de la nouvelle lingerie pour faire plaisir à monsieur !, dis-je en riant.

- T' y a été quand ?

- Avec Amélia, on a fait les boutiques quand vous étiez en rassemblement. Et j' ai trouver pas mal de petites choses, dis-je en les rangeant dans le tiroir en souriant.

Benjamin s' asseyait sur le rebord du lit.

- Oh ça m' intéresse !, me dit-il avec malice.

Je venais le rejoindre et m' asseyait sur ses genoux, face à lui.

- Oh mais monsieur vas pouvoir voir cela pendant toute la semaine !, lui dis-je avec la même malice dans la voix et le regard.

Il me souria et je lui rendit son sourire.

- Vous êtes incroyable mademoiselle Hernandez, vous le savez ça !?