Chapitre 44 : Petit à petit

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Nous sommes enfin arriver à la maison avec Benjamin et notre fils.

Je crois que Benjamin n' avait jamais rouler aussi doucement en ville en voiture.
Notre fils à l' arrière, correctement attacher dans sa coque était en total sécurité.
J' avais souri à Benjamin en lui mettant ma main sur sa cuisse pour lui dire qu' il pouvait aller un peu plus vite avec la voiture, que son fils ne craignait rien.
Trente kilomètre heure en centre ville, il pouvait mieux faire. Mais il m' avait arracher un sourire en disant qu' il ne voulait pas perturbé notre fils dans sa coque, que dans mon ventre il était en sécurité, calé bien au chaud et que je ne courais pas à cette vitesse pour qu' il soit habitué.
J' avais trouver cela tellement mignon, que j' avais doucement ri, lui aussi d' ailleurs, mais cela n' avait pas changer. On a mis le double de temps pour rentrer à la maison, mais peu importe.

Benjamin s' est garer devant la maison.
M' à ouvert ma portière et une fois sortis de la voiture, m' à prit dans ses bras pour m' embrasser avec tendresse.

- Bon retour à la maison jolie maman, m' avait-il dans un sourire.

- Oh mais merci cher Monsieur, lui avais-je répondu en l' embrassant de nouveau.

Il me relâchait doucement en ouvrant la portière de derrière pour récupérer notre fils, il lui parlait en gazouillant et je ne me retenais pas de sourire.
Il me regarda ensuite et me souri aussi.

- T' est vraiment un papa extraordinaire, notre fils a beaucoup de chance de t' avoir comme papa.

- Et moi j' ai de la chance de vous avoir tous les deux !, me dit-il en se rapprochant de moi. Un merveilleux bébé et sa maman encore plus radieuse. Je t' aime tellement Taylor.

- Moi aussi je t' aime Benjamin.

On s' embrassait de nouveau. Il me tendit la main dans laquelle on entrelaçaient nos doigts et nous nous sommes diriger vers la porte d' entrée de la maison.

En rentrant, j' aperçus directement sur la table du salon, un immense bouquet de rose rouge, mes préférés.
Je me retournais vers Benjamin qui avait posé la coque sur le canapé pour enlever notre fils de dedans et je lui souriais.

- Elles sont magnifiques, merci mon cœur.

- Derien ma puce, j' ai fait exprès d' aller les chercher ce matin avant de venir vous chercher, comme ça tu en profitera plus longtemps.

- Merci.

Et je respirais la délicieuse odeur qui émanait du bouquet. Elles étaient vraiment magnifique, d' une taille assez grosse et elles sentais super bon.

Benjamin tenait son fils dans ses bras, et je souriais en les voyant.
Nous nous sommes installer un petit moment sur le canapé, l' admirant encore une fois.
Il s' endormait doucement sous les carresses de son père sur son ventre.

- Je ne me lasserais pas de ces moments, tous les trois, dis-je en souriant en regardant mon fils.

- C' est parfait !, me répondit Benjamin les larmes aux yeux. Je ne peux pas rêver mieux, une femme merveilleuse à mes côtés, et un petit bébé tout aussi merveilleux. Je suis le plus heureux du monde.

- Moi aussi mon cœur, moi aussi.

Je l' embrassais avec tendresse.

Nous avons discuter un petit moment.
Lucas nous envoyaient un petit message pour savoir si nous étions bien rentrer.
Et une fois qu' on lui avait répondu, Théo envoyait un message pour savoir si s' ayez, ils allaient savoir le prénom. Je riais devant mon téléphone, debout vers l' îlot de la cuisine.

Un pas pour l' amourOù les histoires vivent. Découvrez maintenant