Chapitre 53 : A deux

333 15 0
                                    

- Ma puce, on vas arriver bientôt, me disait Benjamin doucement à mon oreille en me carressant la joue.

- Hummmm, dis-je en immergeant de mon sommeil. Je faisais un rêve magnifique, dis-je en ouvrant doucement les yeux.

Benjamin me regardait, légèrement penché vers moi, un sourire aux lèvres.

- Ah non !, ce n' était pas un rêve !, dis-je en souriant en le voyant esquisser un sourire. Salut toi !, dis-je malicieuse.

- Qu' est-ce que je vous aime Madame Pavard !, me dit-il en m' embrassant.

- Redis le, dis-je doucement, nos lèvres juste à quelques centimètres l' une de l' autre après notre baiser.

- Je vous aime Madame Pavard !, me dit-il en m' embrassant de nouveau.

Je souriais à travers notre baiser et Benjamin me rejoignait dans mon sourire aussi.

Puis, regardant par le hublot, on apercevais la vue panoramique sur le lagon bleu qui se dessinait à l' horizon, on arrivait au paradis.

On était partis vers minuit, douze heures plus tard, le service repas nous avait été proposer un peu plus tot, mais nous n' avions déjeuner poir notre part, ayant pris le petit déjeuner vers 10 heures. Nous allions le prendre à l' hôtel en arrivant, même si il serait un peu plus tard.

Nous avons atteri sur le petit aéroport de la ville, récupérer nos valises, et un taxi nous attendais pour nous emmener à notre hôtel.

Durant le chemin qui nous menais à notre location, Benjamin m' avait attraper la main avec douceur et y avait entremêlés nos doigts, et embrassait celle-ci en me souriant.
Je me rapprochais de lui pour être dans ses bras, et nous regardions la route, en direction de notre hôtel.

Des palmiers, du sable, l' océan, à perte de vue, c' était magnifique.
Je gravais ces images dans ma tête, dans mon cœur qui ne battait que pour lui, pour mon mari.

On se retrouvais tous les deux, pour profiter comme il se devait de nos premiers jours en tant que mari et femme, sans personne autour de nous.
Bien sûr, ils nous manquais tous, notre famille, nos amis, notre fils surtout, on allait profiter quand même en amoureux.
Et on savais où il était et avec qui, et nous savions que nous allions passer des vacances parfaite.

On arrivait au bout d' une allée où la plage se dessinait à perte de vue, on ne voyait pas l' horizon, on remarquais notre hôtel de luxe au loin, avec des petits pavillons individuels. Le paradis sur terre...

Un pas pour l' amourOù les histoires vivent. Découvrez maintenant