Chapitre 36 : Déplacement

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S' ayez, le mois de janvier continua à s' écouler rapidement.
Je remarchais, pour le plus grand soulagement de tous mes proches.
Je poursuivais tout de même les séances avec Stan, il ne me lâchait pas encore, mais les séances était moins épuisantes.
Et je dois dire que cela m' arrangeais, en effet j' en ai été à presque sept mois de grossesse et cela devenait de plus en plus fatiguant.
Entre mes efforts physiques de la rééducation et avec bébé qui faisait la fête la nuit, ne me laissant pas dormir, cela commençait à devenir compliquée.

Dimanche, fin janvier, on faisait la grasse matinée avec Benjamin.
Pas de match aujourd'hui, journée off pour lui.

- Bonjour ma puce, comment tu vas ce matin ?, me dit-il en me faisant des petits bisous dans le cou. Bien dormi ?

- Un peu mieux. Ton fils a fait la fête une partie de la nuit et m' à laisser dormir ensuite sur le matin, lui dis-je en l' embrassant.

- Mon petit bonhomme vas falloir qu' on parle avec papa !, dit-il en se mettant à hauteur de mon ventre.

Je souriais tellement la scène était trop mignonne.

- Maman est très fatiguée en ce moment mon petit poussin. Ce serait bien que tu fasse la fête la journée, et que tu laisse ta merveilleuse maman dormir la nuit.

- Quelle beau parleur !, dis-je en riant.

- C' est pas faux, tu est merveilleuse !, me dit-il en souriant.

Le téléphone sonna.

- C' est le tient mon cœur !

- Qui s' est qui appele un dimanche matin ?, si c' est ton frère je le tue !, ria-t-il.

- Lequel ?, dis-je en riant aussi.

- Les deux !, on est dimanche matin, on est off, je pourrais être occuper avec ma petite femme !, me dit-il en me faisant un clin d' œil.

- Ta petite femme carrément !, riais-je.

Il s' était lever pour attraper son téléphone sur la commode.

- C' est Didier !, qu' est-ce qu' il veut ?, dit-il en regardant son téléphone.

Je haussais les épaules.

- Allo coach !

- Bonjour Benjamin !, c' est Didier, je suis désolé de te déranger un dimanche...

- Non coach pas de soucis, dite moi ?!

- J' ai un match amical de dernière minute qui vient de me tomber dessus. C' est pour une soirée caritative, et je dois composer la meilleure des équipes. Il la veulent pour demain, c' est pour çà que j' appelle maintenant.

- C' est quand ?

- C' est pour çà que je t' appelle. Je sais que Taylor est bientôt à la fin de sa grossesse et je ne veux pas te forcer, mais je t' avoue que j' aimerais bien t' avoir à nos côtés. Ce serait sur fin février, sur trois, quatres jours au camp, et vous jouerez deux matchs. Tous les fonds de la vente des billets seront reverser à une association de lutte pour le cancer chez l' enfant.

- OK coach, c' est une très bonne cause, mais c' est vrai que Taylor est bientôt en fin de grossesse, et,

Il s' arrêta de parler, parce que je lui faisait plein de geste en lui disant qu' il devait y aller.

Un pas pour l' amourOù les histoires vivent. Découvrez maintenant