RETOUR DANS LA PEAU DE GRĀCE|
Après que Flavo soit monté, je pris les valises et montai avec en haut. J'ai fait plein d'aller retour, c'était chiant.
Ils étaient super lourd j'ai galéré jusqu'à mes mains sont devenus rouges et douloureuses.
Arrivé en haut, il y avait plusieurs portes, j'savais même pas ou était sa chambre. Par hasard, j'ouvris les 2 dernières et c'était des chambres.
Je rentrai donc d'abord dans la sienne et arrangeai ses vêtements et après dans l'autre pièce pour moi (je dormirai pas avec tchiip). Ça m'a pris 2H.En sortant de la pièce, j'entendis la porte claquer; ça doit être Flavio qui a déserté la maison.
J'en ai profité pour faire tout le ménage dans la maison, ça m'a épuisé mais j'ai l'habitude de toute façon.
18H passé, j'avais trop faim; j'me suis fait un petit truc à manger y avait plus rien. Après ça, j'ai un peu visité la maison; elle était modeste et pas trop grande, sans plus quoi.
J'apperçus une porte bizarre dans le coin du salon , elle était bombée, y avait pas de poignée. J'ai essayé de l'ouvrir mais rien.
Je m'ennuyais tellement, sous les ordres de Flavio, j'avais pas le droit de bouger de cette maison; mais je voulais sortir j'en avais marre d'être étouffé et toujours enfermé.
Je me suis dirigée à la porte d'entrée et sortis. J'étais surprise, je regardais de partout. Là où j'étais c'était très pauvre; ça me faisait penser aux bidonvilles, seul là ou j'étais c'était assez luxueux. Il n' y avait pas beaucoup de monde dans les ruelles alors qu'il faisait beau.
Je marchai en suivant les ruelles zigzaguantes, descendis de temps en temps, tournai sans savoir où j'allais.
J'aperçus au loin des enfants jouer au foot sur une place. Je me suis approché, il y avait un banc près d'eux quand j'entendis:
BOOOOOUM!
J'ai sursauté , les enfants n'étaient plus là. Ils s'étaient échappés et laissait place à une violente confrontation. J'étais pétrifiée et plantée à quelques mètres d'eux, il y avait 8 hommes armés; ils étaient menaçants, violents, tatoués de la tête au pied! (Du jamais vu je croyais que ça n'existait que dans les reportages à la télé mdddr).
J'étais devant la scène, tétanisée. J'entendis un tire, un homme s'écroula directement au sol ce qui engendra la colère du camp adverse.
Un d'eux me vit et pointa son arme sur moi près à tirer lorsque qu'un homme me tira par le bras.
...| SUIT MOI! VITE DÉPÊCHE TOI!
j'étais choquée! Il parlait français. Des coups de feu retentirent mais Dieu merci, il visait mal.
On courra comme jamais dans les ruelles, les petits chemins étroits. 2 hommes nous poursuivaient, l'inconnu me tenait par la main en courant (je sais pas si vous voyez le truc).
Moi| Laisse moi s'il te plait... Je suis fatiguée, sauve toi.
...| Dis pas n'importe quoi! On va les semer fait moi confiance.
L'homme sentit que je me fatiguais, les autres derrières allaient nous rattraper et nous tuer. On tourna, et il me poussa dans une maison abandonnée et il partit.
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Chronique de Grāce | Esclave de ma destinée [TERMINÉ]
General FictionLes larmes coulent de mes yeux nuits et jours. Pourquoi moi? Ne mériterai-je pas le bonheur comme toutes jeunes filles de mon âge ? Détesté, battu par mes parents et mes frères, je suis la hantise de cette famille dont j'ignore les causes. De la hai...