Chronique de Grāce | Esclave de ma destinée [TERMINÉ]

PARTIE 28

Je me fis pas attendre que Joe et les autres nous poussèrent. Nous étions en chute libre , L'adrénaline était à son max :

Moi|AAAAAAAAAAAAAARH

PLOUF !

Trou noir.

Non il n' y a pas de trou noir! Corps dans le vide, je me retrouve enfoncé dans ces grands eaux. Je ne fis à ce moment là pas attention à ce qui m'entourait c'est à dire aux autres. J'étais préoccupée à remonter à la surface, ce qui est instinctif mais une main perdue stoppa ma progression et me retourna face à sa provenance.

Je pûs apercevoir Joe assez dubitatif , entrain de me faire signe de rester sous l'eau. Mais je sentais peu à peu mes poumons se vider, l'air se faisait insuffisant, et avec la forte pression du courant qui nous propulsait dans le fin fond de cette immense forêt, ça n'arrangeait pas la chose...

Je me détachai donc de son étreinte, remontai à la surface et aperçus une grosse feuille poussée par le courant en ma direction, je m'en saisis vite et l'a mis juste au dessus de ma tête.

Ce qui me permit de sortir mon nez et ma bouche de l'eau pour m'oxygéner sans me faire repérer.

DANS LA PEAU DE FLAVIO|

Moi|Dépêchez vous ! On va les perdre sinon ! Vous de ce côté et VOUS avec moi !

BOUM BOUM BOUM BOUM !

Des hommes étaient déjà bien enfoncés, mais surpris par les coups de feu dans notre direction, nos pas s'accélèrent. Je compris qu'ils étaient accompagnés, Grāce serait incapable de toucher une arme elle est tellement innocente dans la façon de parler, de se comporter et de faire, c'est impossible.

Quelques mètres devant, J'apperçus le corps criblé de balle d'un homme de Joe. Un sourire en coin apparut sur mes lèvres, ils n'étaient pas loin ce fût bon signe.

Un homme vint à moi :

Moi|Ouais ?

...|Monsieur, nous avons perdu leur trace.

Mon visage se froissa, j'étais dans une colère noire et pour la première fois je ressentais de l'inquiétude.

Moi|PUTAAAIN !

J'avais pour la première fois échoué comme un débutant.

Passons 3H.

Nous étions de retour sur Manaus dans un hôtel très côté privé. J'ai appelé plusieurs associés du Brésil et les ai convoqué à ma villa pour demain.

[...]

Autour d'une grande table me voilà réuni avec tous les "grands" avec qui je fais des affaires. Pas plus grand que moi.

Moi|Je vais être bref , si vous êtes la c'est parce que ma femme a disparu dans la forêt amazonienne, elle se trouve dans les bras du gang de Gustavo, notre ennemi. Dès ce soir, je veux que vous appelez tous les chefs de Colombie et des autres pays qui collaborent avec nous pour qu'il l'a capture moi j'ai de grosses affaires à faire. Donc je vous donne la charge , me décevez pas.

...|Ça sera fait Flavio .

Moi|Bien.

Je m'eclipse les laissant seul sur ce gros problème. Je sortis de la villa, pris la première voiture que je vis et je me dirigeai chez moi.
J'ai appelé entre temps la ménagère qui s'occupe entièrement de la case et lui ai demandé de me préparer un plat.

Quelques temps après, j'arrive enfin et ouvre la porte.
J'entre en vitesse sans voir ou j'allais mais je finis par heurter une personne, ce qui m'enerva. Près à me jeter sur la personne, je levai la tête de mon portable et aperçus Angelina.