PARTIE 16

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De jours en jours vous êtes plus nombreuses à me lire malgré mon irrégularité . Merci merci ! Ça me fait trop plaisir, continuez à vous montrez. ♡

Bonne lecture.

RETOUR DANS LA PEAU DE GRĀCE|

A cet instant précis, je viens de signer mon arrêt de mort mais je ne regrette rien enfin pour l'instant.

En un petit laps de temps, je me suis retrouvée au sol, Flavio m'a éjecté. Son regard était glacial mélangé à de la haine, oui il voulait me tuer.. sa respiration se faisait entendre, il essayait tant bien que mal de se contrôler. Je n'arrivais pas à le regarder, je m'étais recroquevillée sur moi même pour me protéger un peu des coups. Il m'observa intensément et me lâcha :

Flavio|Répète tout ce que tu viens de me dire.

Moi|Tu..

Il a vu que j'allais pas me soumettre à lui, il s'approcha de moi, saisit fortement mes cheveux et me cogna la tête fortement au mur ce qui me fit hurler de douleur. Je commençais à regretter d'avoir ouvert ma bouche.

Moi|AAAAAAAAAAAAAARH LÂCHE MOI !!!

Il continua à me cogner, la douleur était indescriptible, je commençais à voir flou, il me souleva par le col et puis ce fut le trou noir.

PLUS TARD

Je me suit réveillée , j'étais allongée à même le sol, je regardais autour de moi et vis les chaînes. J'eu un frisson sur le coup, j'étais dans cette pièce il y a des mois de cela...

La douleur me rappela à l'ordre; j'avais un énorme mal de crâne insupportable. Je touchais mon front pour soulager un peu mais je sentis une énorme bosse et du sang séché.

Au fond à droite de cette grande pièce il y avait un vieux matelas sans drap ni rien. Je partis m'y installer et m'allonger pour essayer de me calmer. J'avais tellement mal, je n'arrivais plus à supporter, il me fallait un médecin. Je me suis effondrée en larme, pleurant toutes les larmes de mon corps. La douleur étais insoutenable, je me tenais la tête en serrant mes dents à la fois. Je n'en pouvais plus je criais pour que l'on vienne m'aider même si c'était peine perdu. Je n'avais plus de notion de temps, il n y avais pas de fenêtres ni de lumière j'étais dans l'obscurité mais pas dans un noir total. Je me mis à la fin à hurler, à taper à la porte pour que l'on me sorte de là. Je pleurais de rage, de douleur et de fatigue.

Quelques heures plus tard, la porte s'ouvrit; j'étais allongée sur le matelas. Je ne voulais pas me retourner, le voir. Je ne voulais pas sentir sa proximité, plus il s'approcha, plus mes membres se mirent à trembler, mon coeur s'accélèra.

Une petite main me toucha l'épaule pour me réveiller. Puis sa voix. Ce n'était pas lui, je me suis donc retourné et vis une jeune fille m'apporter à manger.

...|Voilà votre repas Mme ALDEZ.

Moi|Qui êtes vous?

...|Je suis l'ancienne femme de ménage et là je remplace celle qui est absente.

Moi|Ah. N'es tu pas un peu trop jeune pour travailler ?

...|J'aide ma mère.

Flavio|Mila!

...|Oui patron. j'ai bientôt fini.

Chronique de Grāce | Esclave de ma destinée [TERMINÉ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant