Chapitre 43

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Bonjour ! J'suis désolé, j'ai eu un problème avec le chapitre et j'ai pas pu le poster hier, du coup je le post maintenant. J'ai décidé de mettre une musique à tous les derniers chapitres en media (elles ont aucun rapport avec le chapitre, juste c'est celle que j'écoute quand j'écris), j'espère que vous allez aimer ! Bonne lecture !

K:- Au fait, Take, c'était bien la fac ?

T:- C'était... Oui, c'était bien !

Je lui souris sincèrement, puisque c'est vrai, la fac en elle même c'était super. On commence à discuter de tout et de rien pendant que je pèse tous les ingrédients, attendant le retour de Manjiro. Quand il arrive, on est en plein fou rire et il vient se mettre dans mon dos en attrapant mes hanches, avant de poser se tête dans mon cou, près de mon oreille.

M:- Je te préfère comme ça mon amour.

Je lui souris avant de l'embrassé. 

T:- Bon, c'est pas tout ça, mais il serait peut-être temps de faire les crêpes !

On se met à préparer la pate, et Manjiro fait ce qu'il peut pour ne pas en mettre partout, et c'est... Suffisamment bien réussi pour qu'il en reste assez. Je m'occupe moi même de la cuisson, j'ai eu des histoires entre Manjiro et la cuisine que je préfère éviter, mieux vaut prévenir que guérir. Pendant ce temps, on discute tous ensemble, même pépé Sano participe.

T:- C'est près !

I:- Wouah ! Ca sent trop bon ! Et c'est trop beau ! 

T:- J'espère qu'elle sont réussi ! 

M:- Mangeons vite ! Il est 17h30 et on doit être parti dans une heure ! Mais on a d'autre chose à faire avant.

I:- Vous laverez les draps.

S:- Pas trop de bruit.

K:- Cassez pas une latte.

W:- Criez pas trop fort.

P.S.(Pépé Sano):- Oubliez pas la capote.

Ils ont dit ça tous en même temps.

M:- Mais n'importe quoi ! On est pas des sauvages, il est rentré il y a quelques heures à peine ! 

Ils haussent tous les épaules et j'éclate de rire. C'est fou comme j'aime cette famille ! J'espère qu'un jour, elle deviendra ma seconde famille aux yeux de la loi.

M:- Une tuerie ! Je l'avais dit !

On fini de manger et il m'emmène dans sa chambre. 

M:- Mon amour, ça fait cinq ans que tu fête Noël et ton anniversaire loin de moi, mais c'est pas pour autant que je t'ai oublié, qu'on t'a oublié. Tous les ans sous le sapins, il y avait des cadeaux pour toi. Et ta mère les a tous gardé, sauf les miens, que j'ai tenu à te donner en personne.

Je l'embrasse tendrement. 

T:- Moi aussi je t'ai acheté des cadeaux, ils seront surement moins bien que les tiens vu que je n'avais pas beaucoup d'argent, mais je l'ai fait.

Il me souri et sors une première boite. 

M:- Pour le premier Noël que tu as passé loin de moi.

Je l'ouvre et tombe sur un magnifique collier, gravé d'un Manji qui s'ouvre sur une petite photo de nous deux.

M:- Pour tes 17 ans.

Il me donne une nouvelle boîte, un peu plus grosse. Je l'ouvre et en sort une petite peluche à son effigie.

M:- J'ai la même avec toi. Ça c'est pour le noël d'après.

Il me sort un magnifique cadre, un ciel étoilé absolument merveilleux, avec écrit dans une calligraphie arrondie "Quoi qu'il arrive je t'aime", je souris.

M:- C'est moi qui l'ai fait.

Il rougit, beaucoup trop mignon.

T:- Merci beaucoup.

M:- Ça, je l'ai fait ce matin... j'espère que ce sera bon...

Il me rend un doraiyaki. Il l'a fait lui même ? Lui qui ne sait pas faire la cuisine, il a fait ça pour moi ! Je le prend et le coupe en deux.

T:- Tient. Mangeons le ensemble.

M:- Pour que tu ne meurs pas intoxiqué tout seul ?

T:- Pour que je ne soit pas le seul à connaître le goût du délicieux gâteau que tu m'a fait.

Je l'approche de ma bouche et le goûte. Hum, un vrai délice !

T:- C'est délicieux !

Il englouti sa part et je mange tranquillement la mienne.

M:- Pour tes dix huit ans.

Il me donne une boîte contenant une tenue complète. Un cargo noir avec une chaîne, un t-shirt blanc simple, une veste en jean et une paire de Nike blanche, il y a même une casquette. Super bien choisi, j'aime trop !

M:- Sans plus attendre, Noël. Alors, celui là est peut être un peu vieux, mais c'est une décoration maintenant.

Il me tend une veste, plutôt petite. C'est un uniforme du Toman. Il est brodé à plusieurs endroits.

M:- C'est la toute première veste qui à été cousu pour le Toman, la mienne. Celle que je portais ici.

Il me donne une photo. C'est la photo avec tout les fondateurs du Toman. Elle est magnifique.

M:- J'ai elle aussi.

Il me tend une photo, très ressemblante. C'est Shin, Wakasa et le grand frère de Senju, que j'ai vu quelques fois, mais en plus jeune.

T:- C'est les fondateurs de Black Dragon. C'est qui lui ?

M:- C'est Benkei, il a déménagé, c'est d'ailleurs pour ça que le gang a changé de main et est devenu comme ça.

Je les regarde et un sourire se forme sur mes lèvres.

M:- Pour tes dix neuf ans.

T:- J'ai pas autant de cadeaux moi... Je n'en ai trois ou quatre...

M:- C'est pas grave, je t'aime quand même.

Il me fais un grand sourire en me donnant le cadeau. C'est un téléphone.

T:- Merci, j'en avait bien besoin...

M:- Pour Noël.

Il me tend une peluche Calimero. Un large sourire fend mon visage.

M:- Je sais c'est pas ouf, mais c'est plus sentimental. Tu t'en souviens sûrement pas, mais c'est la même que tu m'avais offerte après m'avoir battu au jeux vidéo la première fois.

T:- Bien sur que je m'en souviens ! Merci beaucoup !

M:- Je sais que tu aimes beaucoup la musique alors pour tes vingt ans, je t'ai acheté ça.

Il le donne un casque bluetooth. Trop bien ! J'en voulais un !

M:- Pour le dernier Noël loin de toi, j'ai fait ça, c'est un peu gros, mais j'espère que tu vas aimer.

Il me donne un énorme cadre avec plein de photos. Des photos de nous deux, des photos du groupe entier, avec certains, avec d'autres, c'est magnifique. Au centre il y en a une un peu plus grosse. C'est celle qu'on a fait avec tout le monde, elle est un peu comme celle de la création du gang mais avec beaucoup plus de gens. Toutes ces photos me rappellent des souvenirs et des larmes coulent sur mes joues.

T:- C'est... C'est absolument merveilleux Manjiro, merci beaucoup.

Je le prend dans mes bras en pleurant.

T:- Je t'aime tellement.

M:- Moi aussi. Le dernier cadeau, je te le donnerai tout à l'heure. Pour l'instant allons chez toi, et t'en fait pas pour tes affaires, elles viendront chez toi aussi mystérieusement que tes valises.

Il me fait un sourire en coin et je ris. On sort de chez lui, j'ai dit au revoir à Pépé Sano avant, mais ses frères n'était pas là.

Je suis devant ma maison que je n'ai pas vu depuis si longtemps, et à l'intérieur tout semble éteint et vide.

J'AI REUSSI !!! J'AI ÉCRIT UN CHAPITRE ENTIER SUR MON TÉLÉPHONE ! J'espère qu'il est bien quand même... Bon, je vous dit à mercredi !

TakemikeyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant