Chapitre 19

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Salutations ami(e)s lecteurs/lectrices, voici mon tout nouveau chapitre (que j'ai écrit lorsque je publiai le numéro 9), je vous souhaite donc à tous une excellente lecture.

Yu:- C'est bon mon grand, j'ai fini. Je vais appelé le médecin.

Je reste à parler avec Yuki jusqu'à ce que le médecin arrive et m'emmène sur mon lit d'hôpital jusqu'à l'endroit où je vais passé ma radio.

La radio se passe plus rapidement que ce que je pensais et je suis vite de retour dans la chambre où m'attend déjà ma mère.

M.T.:- Mon chéri ! Tout vas bien ?

T:- Oui, ne t'inquiète pas.

Elle se lève et me prend dans ses bras. Après ça, le médecin lui demande de s'asseoir.

Dr:- Monsieur Hanagaki, je suis dans le regret de vous annoncez que vous avez deux côtes fêlées. Nous ne pouvons malheureusement rien faire, la seule solution est d'attendre qu'elles se repare d'elles mêmes, elles sont fêlé plutôt légèrement, ça ne devrait pas mettre trop de temps. Pourrais-je savoir comment vous vous êtes fais cela ?

Je ne sais pas ce que je dois répondre. Un regard désolé de ma mère me fait comprendre qu'il faut que je la laisse parler, mais aussi qu'elle ne dira pas la vérité.

T:- Oui.

M.T.:- Un élève de sa classe l'a tabassé.

Dr:- Cela a-t-il été récurent ?

T:- Non, il ne la fait qu'une fois, hier.

Dr:- Y avait-il une raison ?

Ma mère me demande silencieusement de continuer son mensonge, ce que bien sur je comptais faire, le problême c'est que le mensonge n'est pas complet, une part de vérité s'y cache.

T:- Oui.

Dr:- Pourrais-je la connaître ?

T:- ... Mon... Mon homosexualité...

Dr:- Vous savez, c'est extrêmement grave ce qu'il a fait, vous devez portez plainte.

T:-Je... Je sais...

Dr:- Nous allons vous apportez de quoi manger et vous pourrez repartir après.

Ma mère a un regard désolé envers moi. 

T:- Maman, arrête. Je vois bien que tu t'en veux de ne pas avoir eu le courage, mais je ne l'aurais pas eu non plus.

Quelqu'un arrive avec un plateau, je ne mangerais pas la moitié de ce qui se trouve dessus.

Inf(Infirmière):- Lorsque vous aurez terminez, vous pourrez partir. Il vous faudra juste passer chercher l'ordonnance pour les antidouleurs.

L'infirmière ressort et je regarde mon plateau sans grand intérêt. 

M.T.:- Tu ne vas pas mangé pas vrai ?

T:- Disons que ça ne m'ouvre pas l'appétit.

M.T.:- On passera mangé dans un Burger King si tu veux.

T:- Cette idée m'ouvre bien l'appétit !

Je lui offre un grand sourire et elle rit, ça la fait toujours rire quand je parle comme ça. La porte s'ouvre et mon sourire s'agrandi.

?:- Auriez-vous besoin d'une escorte pour trouver la sortie ?

Un énorme sourire s'installe sur les lèvres de ma mère et d'un bond elle se retrouve dans ses bras.

M.T.:- YUKI !!

Ai-je omis de préciser que ma mère et le père de Sei était meilleurs amis depuis leur plus tendre enfance ? Et bien voilà. Ce qui est drôle c'est leur nom, c'est grâce à eux qu'ils sont devenus amis. Ils étaient toujours à côté dans l'alphabet, Yuki Inui et Yoko Itô.

TakemikeyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant