Chapitre 34

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Ma mère veut ma mort maintenant c'est sûr. Bon, déjà bonjour, ensuite replaçons le contexte (même si vous vous en avez rien à faire, je vais vous le dire), nous sommes mardi 22 août 2023, nous sommes en vacances, je n'ai absolument aucun chapitre en avance, il est 7 HEURES DU MATIN, hier soir je me suis endormi tôt (tôt = environ 23H) pour la première fois depuis des mois, j'arrive bien à dormir (chose très rare), MA MÈRE VIENT ME REVEILLER ! ALORS QUE JE TAPE MON MEILLEUR SOMMEIL ! ET TOUT CA POUR QUOI ? POUR ALLER ARROSER LA SERRE ! ALORS QUE J'AURAIS PU LE FAIRE PLUS TARD ! Bref, j'ai très mal dormi et il faut que je m'avance sur mon histoire, voilà, bonne lecture. (Petite référence à Bref)

Alors rectification, je veux ma propre mort. Contexte : On est mercredi 23 août 2023, et hier ma mère m'a fait me lever super tôt, comme vous pouvez le voir plus haut. Problème : Il est 6h32 du mat et j'ai pas encore dormi. Et c'est entièrement ma faute, puisque je voulais finir Given, ce que j'ai fait, avec film et OAV, mais bon du coup maintenant il fait jour et j'ai envie de regarder Banana Fish, mais je pense que c'est pas une bonne idée. Bon je sais que vous en avez rien à br... rien à faire, mais ça me faisait marrer de l'écrire. Du coup bilan : ça va bientôt faire 24h que j'ai pas dormi et Given est vraiment trop bien. Bref bonne lecture.

S:- Aïe, ça pique.

Mon sang ne fait qu'un tour, je cours jusqu'à mon frère et Kokonoi, qui était à côté de lui, part à l'opposer de moi. 

K:- RESTE ICI CONNARD !

Je ne sais pas contre qui il hurle et je me fiche, tout ce qui compte pour moi est Seishu, en train de tomber dans les pommes.

T:- Non Sei, ouvre les yeux, ne t'endors pas reste ici je t'en pris, respire ne t'endors pas, les secours arrivent, reste ici.

Et je ne ment pas, les sirènes se rapproche de plus en plus. Je ne peux pas détourner les yeux de ceux de Sei, si il les ferme c'est la fin, il doit rester éveillé.

S:- Je suis... si fatigué...

Pour accompagner ses paroles, ses yeux se ferme un peu.

T:- Non, tu n'es pas fatigué, tu le crois mais c'est faux, tu dois rester éveillé, si tu t'endors tu ne te réveillera jamais.

Je ne vois plus rien autour de moi, je n'entend ni ne sens plus rien non plus d'ailleurs, tout ce qui compte c'est qu'il reste en vie.

S:- C'est... bien, peut être...

Sa voix est trainante et faible.

T:- Non, pense à ta soeur qui a survécu, pense à moi qui suit revenu, pense à Hajime qui t'aime autant que toi tu l'aimes, pense à tout ce que tu pourra faire une fois que tu auras quitté ce gang malveillant. Ne t'endors pas je t'en supplie. Reste avec moi !

On me tire vers l'arrière, qui ? Je ne sais pas. Je me débats pour rejoindre mon grand-frère, mais des bras forts me retiennent. Quand enfin je me rend compte que les ambulanciers sont là et qu'ils prennent Seishu en charge, je reconnais ces bras qui m'empêche de le rejoindre et me retourne pour me fondre dedans et pleurer toute ma tristesse et ma frustration.

M:- Tout va bien mon amour, je suis là, Sei va survivre, je te le promets. Viens, on va directement à l'hôpital.

Ses paroles et ses mots doux dans mon oreille me réconforte, mais je ne pourrais me sentir bien que quand Sei me prendra dans ses bras. Malheureusement, je ne peux pas me rendre maintenant à l'hôpital, je vois Kokonoi caché un peu plus loin, un flingue dans la main, braqué sur la tempe d'un gars. Je réussis à calmer mes larmes et commence à me rapprocher de lui.

T:- Non, je dois savoir. 

Manjiro me suit et quand Kokonoi nous vois arriver, il se lève.

K:- C'est lui, un Black Dragons. Vraiment un gang de fils de pute.

TakemikeyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant