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Moi: Encore vous.

Josh: Comment ça encore vous? C'est le palais de mon oncle j'ai le droit de venir.

Moi: Poussez-vous s'il vous plaît, je suis pressée.

Lui: Tu es toujours pressée, relaxes toi un peu.

Moi: Je fais mon travail monsieur alors je vous prie de me laisser l'achever.

Lui: Ok*en s'approchant de moi. Mais pas temps qu'on a pas terminer notre discussion de la dernière fois.

Moi: Laquelle?

Lui: Tu sais très bien de quoi je parle.

Moi: Éloignez-vous de moi ou je crie.

Lui: Pourquoi ferais-tu cela?

Moi*en reculant: Un pas de plus et je crie.

Lui: Et qu'est-ce que tu diras quand les gens seront là? Je n'avais pas envie de lui parler? Chérie je peux te faire renvoyer en donnant une autre version et à ton avis qui est-ce que le roi croira?

Moi: Peux m'importe que je sois renvoyé ou pas.

Lui: Tu es sûre, alors crie.

Moi: ...

Lui: Qu'attends-tu?

Moi: ...

Lui *sourire au coin: On en reparlera. Dit-il avant de partir

Quel est sont problème à la fin. Ne peut-il pas me laisser tranquille?

Je prends le jus puis rejoins les filles.
Après notre picnic, je repart à mon poste parce que le prince était de retour.

Rien de spécial ne s'est passé. Il était trop fatigué pour me pourrir la vie.
À minuit, comme il n'était toujours pas sorti pour me demander de disposer, je décide de rejoindre ma chambre. Esther dormait déjà.
Je prie, lis un peu ma Bible puis m'endors.

...Lendemain...

Je suis assise comme d'habitude à regarder les chevaliers quand cet satané Sonia vient s'assoir près de moi.

Elle n'a donc pas de vie.

Elle chuchotais des choses que je ne cherchais même pas à comprendre.

Sonia: Je me demande qu'est-ce que ça fait d'être détesté?

Je fais mine de n'avoir rien entendu.

Elle: Cela doit être insupportable, surtout quand cette personne est l'amour de sa vie.

Elle parle d'elle à ce point.

Elle: Oh pire encore... comment une personne peut se la couler douce avec un homme en laissant sa mère mourir seule, c'est vraiment triste.

Elle commençait à me taper sur les nerf.

Moi: Sonia.

Elle me sourit en guise de réponse.

Moi: Je te jure sur tout ce qu'il me reste de plus cher sur cette terre que si tu ouvres encore ta bouche pour parler de ma mère, je ne répondrai plus de moi.

Elle: Oh pauvre petite, de toute façon elle était déjà assez vielle. Sa mort importe peu. Les vieux doivent laisser les jeunes vi...

Le prix d'un pardon Où les histoires vivent. Découvrez maintenant