chapitre 16: chacun fait ces propre choix

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《 𝓣𝓾 𝓶'𝓪 𝓵𝓸𝓷𝓰𝓽𝓮𝓶𝓹𝓼 𝓭𝓲𝓽, 𝓮𝓽 𝓼𝓲 𝓳𝓮 𝓶𝓮𝓾𝓻𝓼 ? 𝓠𝓾𝓲 𝓹𝓻𝓮𝓷𝓭𝓻𝓪 𝓼𝓸𝓲𝓷 𝓭𝓮 𝓿𝓸𝓾𝓼 ?


𝓙𝓮 𝓽𝓲𝓮𝓷 à 𝓽𝓮 𝓭𝓲𝓻𝓮 𝓶𝓪 𝓬𝓱é𝓻𝓲𝓮 𝓺𝓾𝓮 𝓳𝓮 𝓷'𝓪𝓲 𝓳𝓪𝓶𝓪𝓲𝓼, 𝓳𝓪𝓶𝓪𝓲𝓼 𝓭𝓸𝓾𝓽𝓮𝓻 𝓭𝓮 𝓽𝓸𝓷 𝓬𝓸𝓾𝓻𝓪𝓰𝓮, 𝓭𝓮 𝓽𝓪 𝓻é𝓼𝓲𝓵𝓲𝓮𝓷𝓬𝓮 𝓮𝓽 𝓭𝓮 𝓽𝓪 𝓯𝓸𝓻𝓬𝓮, 𝓳'𝓪𝓲 𝓽𝓸𝓾𝓳𝓸𝓾𝓻𝓼 𝓼𝓾 𝓺𝓾𝓮 𝓳𝓮 𝓹𝓪𝓻𝓽𝓲𝓻𝓪𝓲 𝓮𝓷 𝓹𝓻𝓮𝓶𝓲𝓮𝓻, 𝓬'𝓮𝓼𝓽 𝓬𝓮 𝓺𝓾𝓲 𝓶'𝓪 𝓵𝓸𝓷𝓰𝓽𝓮𝓶𝓹𝓼 𝓯𝓪𝓲𝓽 𝓭𝓾 𝓶𝓪𝓵 𝓹𝓪𝓻𝓽𝓲𝓻 : 𝓮𝓽 𝓽𝓮 𝓵𝓪𝓲𝓼𝓼𝓮𝓻 𝓽𝓮 𝓫𝓪𝓽𝓽𝓻𝓮 𝓽𝓸𝓾𝓽𝓮 𝓼𝓮𝓾𝓵𝓮 𝓭𝓪𝓷𝓼 𝓬𝓮 𝓶𝓸𝓷𝓭𝓮 𝓻𝓮𝓶𝓹𝓵𝓲 𝓭𝓮 𝓼𝓪𝓾𝓿𝓪𝓰𝓮𝓻𝓲𝓮, 𝓶𝓪𝓲𝓼 𝓵𝓮 𝓹𝓵𝓾𝓼 𝓫𝓮𝓪𝓾 𝓬𝓪𝓭𝓮𝓪𝓾 𝓺𝓾𝓲 𝓶'𝓪 é𝓽é 𝓸𝓯𝓯𝓮𝓻𝓽 𝓬'𝓮𝓼𝓽 𝓭'ê𝓽𝓻𝓮 𝓼𝓾𝓻 𝓺𝓾𝓮 𝓳𝓮 𝓿𝓸𝓾𝓼 𝓵𝓪𝓲𝓼𝓼𝓮𝓷𝓽 𝓮𝓷 𝓼é𝓬𝓾𝓻𝓲𝓽é, 𝓶𝓪𝓲𝓷𝓽𝓮𝓷𝓪𝓷𝓽 𝓳𝓮 𝓿𝓸𝓾𝓼 𝓮𝓷 𝓼𝓾𝓹𝓹𝓵𝓲𝓮 𝓻𝓮𝓼𝓽𝓮𝔃 𝓼𝓸𝓾𝓭é𝓼 𝓮𝓽 𝓷𝓮 𝓵𝓪𝓲𝓼𝓼𝓮𝓻 𝓻𝓲𝓮𝓷 𝓷𝓲 𝓹𝓮𝓻𝓼𝓸𝓷𝓷𝓮 𝓼𝓮 𝓶𝓮𝓽𝓽𝓻𝓮 𝓮𝓷𝓽𝓻𝓮 𝓿𝓸𝓾𝓼.



𝓙𝓮 𝓿𝓸𝓾𝓼 𝓪𝓲𝓶𝓮, 𝓷𝓮 𝓵'𝓸𝓾𝓫𝓵𝓲𝓮𝔃 𝓳𝓪𝓶𝓪𝓲𝓼 𝓳𝓮 𝓼𝓮𝓻𝓪𝓲 𝓽𝓸𝓾𝓳𝓸𝓾𝓻𝓼 𝓵𝓪, 𝓳𝓮 𝓼𝓾𝓲𝓼 𝓵'é𝓽𝓸𝓲𝓵𝓮 𝓺𝓾𝓲 𝓿𝓮𝓲𝓵𝓵𝓮 𝓼𝓾𝓻 𝓿𝓸𝓾𝓼.》


Yana



Je suis paralysé alors que je sens du sang dégouliner de mon épaule. J'essaye de dégager cette tête pleine de fourrure mais les grognements sont féroces et impitoyables. Je pleure je tremble et j'ai vraiment peur, soudain ma vie défile sous mes yeux, mes premiers chaussons de danse, ma première fois avec madame Naizovik, les gâteaux au myrtille, le jour où Alexis est née la première dispute de maman et papa sur sa maladie...



La première fois où Sasha m'a retrouvée pleurant dans le placard à chaussure.



Quand soudain j'entends un ploc, je ferme les yeux. je crois bien que je n'est plus d'épaules.



Oh non ! Je n'aurai pas d'épaule à mon enterrement sérieusement !



Mais soudain j'ouvre les yeux et j'entends un sifflement atroce dans mes oreilles... j'ai du sang partout sur moi. J'entends des gémissements de douleur autour de moi, je regarde dans la direction du son et je vois le chien se traîner sur ses pattes.



Autour de moi il y a un brouhaha monstre. des hommes criaient et j'ai en moins de deux, un Lido complètement paniqué sur moi.



- Ça va ?! Tu as mal ?! Je gémis en tenant mon épaule en regardant le chien.



Je me traîne à son corps inanimé, inquiète que la balle lui ait été fatale.



- Mais qu'est-ce-que tu fou ! Ne t'approches pas de cette animal enragé !



- Il lui faut de l'aide. J'ai du mal à bien parler tout en me traînant jusqu'à lui.




Quand je suis à son niveau, j'entends d'autre gémissement accompagné de jappement. je me précipite vers le bruit sans plus penser à la douleur. Arrivée à l'endroit derrière le buisson, je les vois. Deux petits chiots, l'un gémis près de sa mère alors que l'autre jappe d'énervement. Je me précipite vers elle pour voir si elle respire encore.

La Mafia De Chicago: La Zolatka De La MafiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant