La Mafia De Chicago: La Zolatka De La Mafia

chapitre 20 tous nos choix ont des conséquences

Sasha

- Je ne comprends pas ce qu'on fait ici.

- On attend, il va venir. Réponds Tol à ce putain d'Alessandro sur de lui.

- En vrai, on n’en sait rien Tol, c'est Caïn après tout. Il est méga méfiant et ne sort quasi jamais de sa
grotte. Déclare Cal.

- Si je faisais du trafic d’humain, moi aussi je serais méfiant. Je m'exprime pour la première fois qu'on s'est assis dans cette boîte de nuit espagnole. Caïn, le fils du chef de l'organisation d'Irlande, des putains de lutins avec leur confetti et leur trèfle.

Les mêmes qui nous ont attaqué le jour de la fête de fiançailles de Anatoli.

On est tous ici pour essayer d'avoir un arrangement car père est -encore- parti avec Yeulleta dieu seul sait où cette fois. Et nous, nous essayons de maintenir le calme et la paix au moins quelques années sans aucun coup fourré. mais ce putain de Caïn est un lutin mallin et paranoïaque. Il ne viendra pas avec une invitation de Cal et Stephano. Deux clans alliés veut dire de la merde à pleins nez.
- Ah! Regardez il est là. Notre homme.

Je me retourne et vois un homme d'approximativement deux mètres bâti dans le granite. un torse de rugbyman, une aura effrayante et sous la capuche de son sweat-shirt on ne distingue pas son visage.

La foule se fond en deux à son passage. Il n'a besoin de pousser personne, tout le monde comprend.

Il ne faut pas se frotter à cet homme et j'aime ça.

- Cain à envoyé son chien de l'enfer. Espèce de bande de cons! Crache Alessandro à l'adresse de son frère et de Cal.

- Tu croyais qu'il allait venir lui-même? Dit Cal tout en prenant un quart de pomme avec son couteau de poche et le balancé dans sa bouche.

- Tu n'avais qu'à aller le retrouver toi-même. Si tu crois que c'est aussi simple que ça. Cet homme est les yeux et les oreilles de Caïn. Il a un sourire en coin tout en déclarant. Et ce n'est pas lui qu'on est allé retrouver, dit-il en balançant son épaule contre Cal qui est détendu alors que plus que celui qu'on appelle "Diabhal" s'approcher plus je sens la rage qui suinte de son corps.
Je me tourne vers Cal et je vois que Tol a fait de même.

- J'ai retrouvé sa femme. Dit-il en haussant les épaules.
Non... il n'a pas osé...

Un couteau s'abat sur notre table à quelques centimètres des doigts de Cal.

- Le prochain de vous qui s'approche de ma femme, je découpe la sienne en petit morceaux.

Diabhal...

Un homme dont on murmure le nom dans les bas-fonds de Chicago et dont seuls les morts
connaissent le visage.

Un adversaire à ma taille. Que mon rôle commence.
Je mets mon poing dans la gueule d'ange de Cal, tout en le poignardant avec mon petit canif. Il vacille en arrière et Xender le remet sur sa chaise.

Je Crache sur lui tout en déclarant ;
- Sale Bâtard.

- je peux? Je dis en prenant Stephano par les cheveux.

- Régale toi mon frère. Me répond Alessandro.

Je frappe la tête de son frère contre la table, le relève et lui enfonce mon canif en visant à la perfection sans toucher le moindre organe. Il ne faut pas que notre petite comédie tourne au drame.

Ils se font évacuer et je reprends ma place alors que Tol présente les sièges à présent vides à notre invité.

Il balance une lettre cachetée et signé d'un trèfle à quatre feuilles et déclare.