chapitre 18 : le début de la fin.

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《 𝑛𝑒 𝑠𝑜𝑖𝑠 𝑗𝑎𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑑éç𝑢𝑒 𝑡𝑟𝑖𝑠𝑡𝑒 𝑜𝑢 𝑖𝑛𝑔𝑟𝑎𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑡𝑒𝑠 𝑜𝑟𝑖𝑔𝑖𝑛𝑒𝑠, 𝑙𝑎𝑖𝑠𝑠𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑟𝑒𝑠𝑝𝑜𝑛𝑠𝑎𝑏𝑖𝑙𝑖𝑡é à 𝑡𝑎 𝑠œ𝑢𝑟, 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑙à 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑠𝑖 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑙’𝑎𝑟𝑟𝑜𝑔𝑎𝑛𝑐𝑒 ,𝑞𝑢𝑒 𝑗’𝑎𝑣𝑎𝑖𝑠 𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑚𝑎 𝑗𝑒𝑢𝑛𝑒𝑠𝑠𝑒, 𝑒𝑛 𝑒𝑙𝑙𝑒, 𝑠𝑜𝑖𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑓𝑖è𝑟𝑒 𝑑’𝑜ù 𝑡𝑢 𝑣𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑚𝑎 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑏𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑝𝑒𝑟𝑙𝑒, 𝑡𝑢 𝑒𝑠 𝑚𝑎 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖è𝑟𝑒, 𝑚𝑎 𝑝𝑟é𝑓é𝑟é𝑒. 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖è𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑚𝑎 𝑑𝑖𝑡 𝑚𝑎𝑚𝑎 ç𝑎 𝑛𝑒 𝑠’𝑜𝑢𝑏𝑙𝑖𝑒 𝑝𝑎𝑠. 𝑀𝑎 𝑌𝑎𝑛𝑎.》

Sasha

Je frappe le sac de sport encore et encore pour évacué tous mon stress.

Une semaine.

Une semaine que je ne rentre pas chez moi.

Une semaine que je ne dors pas dans mon lit.

Une semaine que j’évite ma chambre comme la peste.

Qu’est-ce-que je pourrais lui dire ?

« Je suis désolé mais je suis terrifié à l’idée de dormir à côté de toi ? »

Elle ne comprendrait pas.

Moi-même je ne me comprends pas…

Je continue à défoncés ce sac de frappe alors que je me rappelle de l’unique discussion qu’on a eu en une semaine. hier, elle m’a rattrapé alors que je dévalait littéralement les escaliers pour fuir la maison.

《 - Tu vas faire ça encore longtemps ?

Je me retourne d’un coup. elle est allongée sur un sofa, ses longue jambes étalés sur toute leur longueur dans leur nudité, le déshabillé aubergines se fendant en deux en début de cuisse, ne laisse que peu de place à l’imagination, l’un des chiot blotti à côté d’elle. Elle le caresse en me regardant.

- Va te changer. Dis-je en serrant les poings en imaginent l’un de mes hommes entrer et la trouver comme ça.

Elle se relève et d’une démarche chaloupé se rapproche de moi.

-  Si je reste là haut je m’habille pour les chiens si je descends il n’y a que des gardes, j’en ai assez de jouer, Sasha, Qu’est-ce-que je fais ici ?

-  Tu t’es vendu je t’ai acheté fin de l’histoire.

-  Chiela à fait la même chose et elle ne dort pas dans un lit vide.

Je la contourne et marche droit vers la porte pour arrêter cette discussion quand elle déclare :

-  Je veux apprendre à me battre.

Je me retourne pour le regarder en m’adossant à la porte.

- Comment, je te prie ?

- Je sais pas ! A toi de voir.

Elle fait des pas vers moi et je lui fais un signe de s’arrêter. Alors elle perd ses nerfs.

- Je sais pas ! Trouve moi quelque chose je vais finir par devenir dingue ici toute seule, je ne fais que parler aux chiens et à Chudo ! Même Lido je ne le vois plus. Puis elle ajoute d’une voix suppliant. S’il te plaît… kotenok¹.

La Mafia De Chicago: La Zolatka De La MafiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant