Chapitre 33 nous ne naissant pas méchant nous choisissons de le devenir.

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«  Quand je l'ai vu la première fois j'ai été au ange, son sourire , ses yeux, cet ère malicieux...il me rappelait tant ce que j'ai perdu, au faite je t'es menti mon trésor, le plus dur n'a pas été la maladie la douleur ou encore vous laissez derrière moi, le plus dur a été de perdre les membres de ma famille les uns après les autre, ta grand-mère n'est morte que de tristesse et d'accablement enterrée un fils et une épreuve si douloureuse que j'ai prié dieu chaque jour que je parte en premier. Je ne voulais perdre aucun de vous quatre. »

Sasha

Nous sommes dans la salle de réception depuis une heure, à recevoir doléances et vœux de bonheur. Quand enfin arrive l'ouverture du bal, la première danse dédié au marier. Je prends la mains de Yana et la traine sur la piste de danse sous les clameur. Le doux morceau de perfect de Ed sheren au piano je danse langoureusement avec ma femme, qui a des étoiles dans les yeux, des étoiles que je suis terrifié à l'idée d'éteindre.

Les danses s'enchaînent Yana danse avec mon père mon frère, une danse avec Lake que j'accepte en serrant les dents.

— C'est la dernière fois.

— Franchement mec je suis habillé en rose même Laky est vexé.

— Oh putain il viens d'appeler son penis Laky? Dit Alexis avec qui je doit danser.

— Viens par la toi, le plan il marche comment ?

— Comme sur des roulettes bien sûr. Tout est en ordre.

— Bien, et Cal?

— Il grogne un peu il fait le debile aussi mais pas plus.

— Comme la tu veux dire?

Je la tourne pour qu'elle vois Cal en train de faire le pitre devant la fille du sénateur, qui rit de ses blagues.

— Oh mon dieu. Dit-elle en riant.

— Tu as attrapé le bouquet exprès ?

— Pas du tout! J'en veux pour rien au monde ce bouquet. Je veux Lake au fond d'un troue, que la greffe de ma mère réussisse, mon père sur l'une des pique de Londres ça putain chez un groupe écossait. Mais pas d'un bouquet !

— J'enregistre le fait que tu veuilles de ton coéquipier au fond d'un trous.

La danse ce termine et cette fois c'est Yeuleta que j'ai dans mes bras.

— Alexandri, tu sais je me souviens du jour où tu es né, et je m'en voudrais toujours pour ce jour là.

— Ce n'était pas votre faute.

— Si le médecin n'avait pas insisté pour être avec moi... rien de tous ça ne serai arrivé. Nous avions déjà perdu mon frère, et Matveï, le médecin ne voulais pas perdre quelqu'un d'autre. Mais ses calculs ont était erronés par Oscar... Tu sais Oscar avait juste envie que ton père lui donne audience au début, et puis...

— Tout est partie en vrille, je sais. A t'il... a t'il toujours été méchant ?

— Tu voudrais que je te dise oui? Que tu n'as pas payé les pots cassés ? Que ce n'est pas à partir de tout ce que t'as fait Oscar que ton opssession pour ma Yana est née ? Que quand tu la vois tu ne vois pas un peu d'Oscar en elle?

— Je ne...

— Il n'y a que toi et moi Alexendri, je sais que tu l'as aimé aussi tordue que ça puisse être c'était ton père. Un enfant aime toujours son père.

Peut-être... elle a peut-être raison j'ai aimé l'homme qui me faisait voyager partout, qui m'a fait voir l'Afrique l'Asie l'Australie, mais pas l'homme qui me laissait des jours d'affilé sans eau ni nourriture, l'homme qui ne m'a jamais inscrit à l'école, l'homme qui me refuser le réconfort d'un père ou l'amour d'une mère.

La Mafia De Chicago: La Zolatka De La MafiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant