Mayssa : « J'ai promis de t'aimer. »

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Moi : Tu veux brûler la maison dès le premier jour ? Non non, allons y !

Maëlys : Mais, hahah, Mehdi a trop déteint sur toi !

Moi : Ah... Peut être, hein !

Maëlys : Toi tu as des choses à me dire pas vrai ?

Moi : Euh...

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Maëlys : Viens on va soûler ma mère !

Moi : Je te suis.

Nous descendions chez ma tante, et quand nous arrivions à la porte, Maëlys n'a même pas pris la peine de toquer, qu'elle ouvrit la porte d'un geste brusque.

Khalti : Ah wili ! Elles viennent me soûler... Vous venez d'avoir votre appartement, allez en profiter non ?

Maëlys : On a envie de manger !

Khalti : Ta gueule ! Dégage de chez moi imposteuses !

Maëlys : Maman ça se dit pas imposteuses.

Khalti : Ah bon ?

Maëlys : Bah oui !

Khalti : Je vais demandé à Mayssa toi t'es conne.

Moi : Non elle a raison, ce n'est pas français.

Khalti : Maintenant je comprends mieux pourquoi Maëlys elle est conne comme ça..*s'en va*

Maëlys : Bon... Tu veux bien qu'on aille se prendre un grec ?

Moi : Je te suis, la question ne se pose pas !

Mehdi fit son intervention tout à coup, en sortant d'un pièce. Quand il nous a vu, il nous a regardé d'un air choqué.

Mehdi : Encore vous ?

Maëlys : Ta gueule.

Moi : On allait partir là, t'inquiète.

Mehdi : Je viens.

Maëlys : Non tu pues de la gueule tu viens pas la c'est entre moi et Mayssa... -me regarde et me fait un clin d'oeil- en plus elle s'est rapprocher d'Ali et elle va tout me raconter.

À l'entende de ses mots, Mehdi ouvra grand les yeux en la regardant tout en étant choqué.

Mehdi : HEIN, QUOI ?

Maëlys : Mais... Tu as le droit d'avoir des meufs, alors pourquoi pas elle ?

Mehdi : Nan nan...Il n'y a personne qui se met en couple là.

Maëlys qui était juste à côté de moi, me regarda sur le côté avant de se mettre à chuchoté.

Maëlys : Tu cours vite ?

Moi : Euh... Oui !

Maëlys : Bon, ok ! Allez Mayssa, viens on va aller voir Ali.

Je n'avais rien compris à ma vie ce jour-là... Maëlys prit mon bras avant d'essayer de courir... Mais le problème c'est que Mehdi aussi commença alors à courir pour nous courser !

À ce moment, j'ai fini par croire que j'allais mourir ! Mehdi courait vraiment vite ! Il faisait un pas, et moi j'en faisais 3... C'était trop fatiguant pour moi.

On courait même dans les escaliers, il fallait voir comment j'avais peur de me casser la figure ! Mais n'empêche, c'était super drôle... non ?

Maëlys : Non, c'est bon ! Arrête, c'était une blague, arrête, arrête !