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Nous nous sommes dépêchés de rentrer, car avec l'appel de Khalti, il était évident qu'elle était déjà très énervée contre nous. Nous n'avons donc pas perdu de temps et sommes rentrés rapidement.

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Khalti : Mais, vous vous êtes trouvez des maris sur la route ou quoi ?

Maëlys : No...

Mehdi : Quoi ? Comment ça mari ?

Khalti : De quoi tu te mêles, sale hmar ?

Mehdi : J'ai entendu ma sœur dire qu'elle a un mari, c'est logique que je me mêle de ça.

Khalti : Ta quoi ? Et c'est qui ?

Mehdi : Bah Maëlys !

Maëlys était choqué, elle s'est mise à croiser ses bras et elle arquait un sourcil.

Maëlys : Donc tu me considères comme ta soeur ?

Ma tante, qui ne devait sûrement pas croire à ce que Mehdi lui avait dit, se tourne alors vers lui.

Maëlys : Rattrape toi comme tu peux -chuchote- !

Après les chuchotements de Maëlys, qui n'était pas du tout des chuchotements d'ailleurs. Ma tante se retourna ensuite vers nous.

Khalti : Qu'as-tu dis ?

Maëlys : Euh... je disais que les invités allaient bientôt arrivés !

Khalti : Ah, mais oui ! Merde alors.

Elle se pressa alors d'aller dans la cuisine, Maëlys et Mehdi sont allés dans la chambre et moi je suis allé voir ma tante.

Moi : Veux-tu un peu d'aide ?

Khalti : Non, ça va aller benthi ! Va les rejoindre dans leur chambre si tu le souhaites.

Je lui ai fait un signe de tête, et ensuite je suis allée rejoindre les deux dans la chambre.

En arrivant, ils étaient tout les deux en débats sur quelque chose inutile !

Maëlys : Ok, Mayssa ! J'ai besoin de toi.

Moi : Oui.

Maëlys : Sauve moi s'il te plaît, je t'en supplie.

Moi : Je veux bien t'aider, mais je t'aiderai en quoi ?

Maëlys : Dis à ton cher mari.. -Mehdi lui donne une claque derrière la tête- MAIS AÏE ! Bon pardon, dis à cette inconnue que c'est les céréales avant le lait.

Bon les gens comme ça,vous êtes anormal. C'est quoi cette façon de vivre là ?

Moi : Pardon ? Mais beurk, Maëlys tu inhumain.

Mehdi : Mdr, tu disais ?

Maëlys : Pardon ? Ok, trahison Mayssa je te retiens.

Mehdi : Mdr, tu assumes plus ? 

Mehdi : -me regarde-, Je pensais pas que tu avais bon goût.

Moi : -sourire gênée-, Lol.

Je me suis assise sur le lit, tout en les regardant.

Maëlys : Mais vous êtes bizarres !

Mehdi s'est levé, avant de venir devant moi, et de regarder Maëlys.

Il a pris mes mains, et les a fait bouger comme si nous faisions bouger des marionnettes ! Et il rigolait.

Mehdi : Cheh, Mayssa a juste fait le bon choix ! Le lait avant les céréales-rigole et s'assoit à côté de moi-.

Mayssa : « J'ai promis de t'aimer. »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant