Ellie

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Le soir du nouvel an est déjà là. Les jours défilent trop vite. Tellement déborder par l'hôtel, pour cette occasion, nous faisons appelle à un traiteur. Les garçons ont tout été chercher ce matin et ont préparé tout le soir pendant que nous nous préparions.

Pour cette occasion, j'ai mis une courte robe près du corps noir un peu satinée avec de large bretelle qui retombe sur les bras. Un décolleté tout ce qu'il y a de correct, mais qui attirera l'œil d'Andrew. Chloé a mis sa robe à fine bretelle rouge, échancrée dans le dos et évasée sur le bas. Elle lui arrive au niveau des genoux. Quant aux garçons, ils ont mis leur beau pantalon avec une belle chemise. Patrick a mis une cravate. Mais pas Andrew. En même temps, je sais qu'il n'est pas porté sur les cravates. Il en met seulement pour de très grandes occasions.

Notre réveillon comme à son habitude était excellent. Une fois la soirée finie et après les avoir aidés à ranger un peu, Andrew et moi retournons dans notre chalet. À peine ai-je déposé mon manteau sur le porte-manteau que Andrew m'attrape, me retourne et me plaque contre le mur.

- Sais-tu combien de temps, j'ai attendu pour pouvoir te l'ôter rapidement. Dit-il tout en m'embrassant dans le cou.

Vu ton état. Je dirais bien trop longtemps. Dis-je en souriant.

Bien vu.

Il m'attrape par les hanches et me soulève. J'entoure mes jambes autour de sa taille puis, il vient me plaquer un peu plus fort contre le mur. Il enfonce sa langue dans ma bouche à la recherche de la mienne. Une fois qu'il l'a trouvée, elles se mélangent follement. Je lâche quelques petits gémissements sous la passion qu'il y met. Ce qui le fait grogner. Il caresse mes cuisses et détache mes bas qui sont accrochés au porte-jarretelle. Ensuite, il pose sa main sur ma culotte en dentelle qui est déjà mouillée par son empressement à me prendre. Il grogne fortement. Sa langue s'affole encore plus et dans un geste démesuré, il arrache ma culotte et la laisse tomber sur le sol. À ce geste, je le veux très vite en moi. Je déboutonne son pantalon qui glisse aussitôt jusqu'à ses pieds. Il le balaie pour ne pas le gêner. Je fais la même chose avec son boxer qui trouve la place à côté de son pantalon.

Une fois libéré de ce tissu, il entre en moi d'un coup. Il entre aussi profond qu'il le peut pour un premier coup de rein. Je lâche un cri d'extase. Je veux sentir tout son corps contre moi, mais n'arrivant pas à déboutonner sa chemise, je la lui arrache. Il me regarde. Il a du feu dans les yeux. Je sens qu'il va me prendre violemment. Et c'est exactement ce que j'ai envie qu'il fasse. Soudain, j'entends un craquement. Quand je sens ses mains sur mon corps, je m'aperçois qu'il a déchiré ma robe. Je vois le morceau de tissu tomber sur le sol et sur le moment, je m'en contre fou. Il peut tout déchirer, tout ce que je veux, c'est qu'il me prenne sauvagement. Il s'enfonce de plus en plus loin et de plus en plus fort en moi. Je me sens sauté sur sa queue bandant à mort. Je penche la tête en arrière tout en gémissant.

- Bordel Ellie !!!!!!! Grogne-t-il tout en me mordant le cou.

Je sens que ça va être une étreinte qui va encore nous laisser des marques. Il accélère ses coups de boutoirs encore et encore. Toujours plus loin, toujours plus forts. Nos corps transpirent tellement ils sont brûlants. Je n'en peux plus et en même temps, j'en veux encore plus. Au bout d'un moment, je sens que je suis sur le point de hurler son prénom. Il a dû le comprendre, car il happe ma bouche et mélange à nouveau sa langue à la mienne. Tout mon corps se met à trembler et je hurle dans sa bouche tout en lui lacérant le dos. Par la douleur, il relâche ma bouche dans un râle. Il continue ses assauts toujours plus fort jusqu'à ce qu'à son tour, il lâche tout dans un cri tout en me mordant profondément l'épaule. Il continue ses coups de bassin pour aller jusqu'au bout de notre plaisir. Une fois celui-ci terminé, il reste en moi, toujours contre le mur. Notre respiration est plus que saccadée. Il a la tête contre mon épaule et je sens son souffle rapide tombé sur mes seins. Je caresse son dos. Il est dégoulinant de transpiration. Je crois que ce qu'on vient de faire est une des meilleures. En même temps, elles le sont toutes.

La mariée des neigesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant