Ziall [3]

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Contre sa porte, il se rapprocha de moi avant de supprimer tout espace nous séparant. Il me regarda droit dans les yeux. Je me crispai, clairement pas à l'aise. Il eut un demi sourire. Il se rapprocha de mon visage avec le sien. Je fermai les yeux, m'attendant au baiser tant espéré. Je ne le sentis pas. Presque ayant réouvert les yeux, je les refermerai aussitôt lorsque je sentis deux lèvres chaudes, douces, légères sur mon cou. Puis un deuxième. Puis un petit bisou sur ma joue. Sa main quitta la mienne et je réouvris les yeux. Je le vis se coucher dans le lit. Je le rejoignis et n'osai pas le regarder. Il se retourna et se coller à moi. Je l'enlaçai, hésitant. Il enlaça mes bras à son tour. Nous nous installâmes ainsi. Je mis ma tête dans son cou et osai y déposer un bisou. Je vis sa bouche s'ouvrir légèrement, ce qui me rendit fier, alors j'en déposai un deuxième, puis un troisième. Il bougea contre moi. Puis... le truc de trop. Je l'embrassai encore et encore et je l'entendis... gémir. Il ferma les yeux, et je pris ça comme une invitation à continuer. Il a gémi, putain. Ca devient compliqué. Je le sentis me griffer les avant-bras, ce qui eut la réaction de m'exciter, donc je me collai davantage à lui. 

- Tu t'es réveillé aujourd'hui en te disant que t'allais me faire du bien comme ça ? demanda-t-il. Je souris et continuai. 

- On dirait bien, dis-je d'une voix rauque, ce qui ne le laissa pas indifférent. T'aimes bien ?

- Ouais, un peu trop, enchaîna-t-il en se collant complètement à l'érection que je peux plus contrôler. Il sourit. Et toi ? demanda-t-il, sachant très bien la réponse. Je frissonnai au timbre de sa voix, il le remarqua et en profita pour continuer à bouger doucement. 

- Tu me fais du bien aussi, dis-je. Beaucoup de bien, dis-je alors qu'il se tourna pour me faire face. On est beaucoup, beaucoup, beaucoup trop proche des lèvres de l'autre, lèvres qu'il fixa chez moi. Je me rapprochai. 

- Ah ouais ? Je te fais du bien ? Comment ? Je rougis, il sourit lévèrement plus. 

- Comme ça, ici, tous les deux, osai-je dire. Il ne reste maintenant plus que quelques centimètres. C'est maintenant ou jamais Zayn. 

- Et tu penses que... y a moyen de se faire encore plus de... Je ne le laissai pas finir et posai doucement mes lèvres sur les siennes. Il me regarda, sourit. Je n'osai pas en faire plus. T'es beaucoup trop mignon, me dit-il d'un coup, en me saisissant la joue. Je souris. Il s'avança et je l'embrassai à nouveau, un rien plus longtemps. 

- Tu me rends fou, dis-je, gêné. Il colla nos deux shorts qui étaient clairement de trop mais ne brûlons pas les étapes. 

Je sais, c'est ça qui est bon, dit-il. T'es un peu... mon Zayn, comme ça, dit-il. Mon Zayn... J'ai besoin d'aide. Je me rapprochai à nouveau et avant de l'embrassai lui adressai une parole. 

- Ton Zayn ? demandai-je. Il sourit, alors moi aussi. 

- Profite pas trop, dit-il avant que je ne l'embrasse à nouveau, plus intensément. Il gémit contre mes lèvres. Il gémit pas mal aujourd'hui, c'est surprenant. Je sentis sa main passer derrière ma nuque et il pressa notre baiser. Il fit bouger ses lèvres et je sentis son autre main caresser mon corps. J'ai la tête qui tourne. T'es pas mon Zayn ? demanda-t-il entre deux bisous. Je rigolai, l'embrassai à nouveau. 

- Seulement, si t'es mon Niall, alors, tentai-je. Il m'embrassa la mâchoire. 

- T'en as envie ? 

- Oui. Et toi ?

- Ca depend, dit-il. Je me reculai un peu, vexé. Il se ravança, amusé. Ca veut dire qu'on continue ce qu'on est en train de faire ? Je hochai la tête positivement et il se recolla à moi. Ses caresses me tuent. Je jouai avec le haut de son short et il haleta, gémit et me donna un coup de rein incontrôlé. Laisse mon short tranquille, dit-il, à moitié convaincu par ce qu'il était en train de demander. Je glissai ma main à l'intérieur, et caressai sa fesse. Il me regarda droit dans les yeux et je pense qu'on aurait pas pu être plus collé, sinon on fusionne. Il se cacha dans mon cou qu'il commença à sucer. Je serrai donc ses fesses et nous... fusionnâmes. Je l'entendis gémir à nouveau. Putain Zayn, c'est trop là. Je... J'en peux plus, m'avoua-t-il. Il m'embrassa à nouveau. Je sentis le désir... sexuel. J'y répondis. Il enchaîna et je sentis la tension monter. D'un coup, il me monta dessus. Je le vis, tout rouge, clairement allumé, à moitié décoiffé, donc sexy à mort. Il s'assit sur mon érection et je me mordis la lèvre. Il commença à caresser mon ventre. 

- Je... Tu me... Arghhhh, dis-je en soufflant et en cachant mes yeux avec mes mains. Je frottai mes yeux. 

- T'es tout dur... dit-il en se frottant à mon érection. Je le regardai droit dans les yeux et il me lança le regard le plus provocateur du monde. Là, ça me dépasse, je peux plus. J'ai envie de toi depuis le début de la semaine. Ton V aujourd'hui, dit-il en le caressant, tout en le regardant. Je me contractai malgré moi. Il me mangea du regard suite à ce geste. Je tirai la tête en arrière et poussai un râle. Il rigola tout doucement. Je sentis ses mains caresser mon corps entier. Je peux... je peux te faire du bien ? dit-il. Je le regardai. Il se frotta. J'hochai la tête positivement. Il se frotta à nouveau. C'est pas une réponse ça... 

BoyLove - OneShots et histoires courtesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant