Tu aimes les OneShots gays fictifs ou basés sur certaines célébrités ? Entre disputes, amour, sexe, réalité, tristesse et jeunesse; tu te perdras dans les aventures de jolis petits couples.
Coucou, après une longue absence, je vous retrouve pour un nouvel OS qui vous plaira, je l'espère. Vous m'aviez manqué. <3
[ Niall ]
Je pris mes clefs et refermai derrière moi, lorsque je sortis de ma chambre d'internat. Heureusement, c'est la dernière année parce que ma chambre est vraiment petite et je n'aime pas y rester. Je vais rejoindre Zayn, Brad et Kyllian au restaurant.
J'arrivai en premier et décidai d'aller présenter notre réservation en spécifiant que mes amis allaient arriver. Un restaurant magnifique qu'on ne se paye pas souvent, à cause du prix. C'est un restaurant chic mais qui propose une formule étudiante : 45 € pour l'entrée, le plat, le dessert et un soft ou verre de vin pour ceux qui ont 18 ans ou plus.
Je m'assis et commandai directement mon petit verre de blanc. C'est toujours rafraichissant. Je consultai mon téléphone et reçus un snap de Zayn.
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Plutôt que de faire du foot beau gosse, viens au restaurant, j'ai faim, lui renvoyai-je. Je rigolai.
J'arrive dans 10 minutes ;), répondit-il tout simplement.
- Salut, entendis-je.
- Salut Kyllian, ça va ? rétorquai-je alors qu'il s'asseyait à côté de moi. Brad arriva directement. Saluuuut Brad, ça va ?
- On fait aller, je viens de perdre mes AirPods, je les ai oubliés dans le bus, j'ai la haine, répliqua Brad.
- T'es vraiment un gland, dis-je en rigolant. Il rigola aussi. Ils prirent leur verre aussi.
- Santé les gars! dit Kyllian en levant son verre. Nous levèrent nos verres avec lui.
- Fils de putes! entendis-je derrière moi. Je vis Zayn, faussement choqué, qui vint s'asseoir. Il est où le respect de trinquer sans moi ?Nous attendirent qu'il soit servi et trinquons. C'est mieux comme ça.
- Fais pas ta star, dit Kyllian. Nous rigolèrent. C'est vrai que Zayn est un emmerdeur.
- Qu'est-ce que vous seriez sans moi, dit-il. On rigola.
La soirée se passe bien, on rigole bien, on parle des cours, surtout de celui de physique dont le prof est atroce mais bien drôle. Il exige des choses de nous qu'il ne peut même pas faire lui-même, c'est toujours bien comique. On a abusé sur le nombre de verres, mais Zayn a insisté qu'il payerait un peu plus. On demanda l'addition et nous partîmes.
- On va pas s'arrêter là quand même ? dit Zayn.
- Pas sûr de continuer, j'ai examen demain, répondit Brad.
- Tu sais très bien que tu vas avoir 17, pourquoi tu fais le chiant ? répondit Zayn. Brad partit avec un signe de la main, et en rigolant.
- Moi je suis chaud, dit Kyllian.
- Moi aussi, dis-je.
- Toujours chaud pour moi, dit-il en faisant le gars musclé et en serrant les bras vers le haut.
- Flex, dis-je.
- T'as vu, dit-il en me faisant un clin d'œil.
- On va au Blue Lacon ? demanda Kyllian. Nous acceptâmes et rapidement, nous nous lançâmes sur la piste de danse. Je regardai Zayn donner sa vie, ça me rappela cette fois où on s'était rapproché plusieurs verres d'alcool et que les choses sont devenues ambiguës et ça l'a toujours été depuis. Kyllian tomba et nous rigolâmes. Il se releva.
- Je pense que c'était le dernier verre pour moi, rigola Kyllian. Il partit, mais heureusement il habite très près du Blue Lacon.
- Je pense que je vais y aller aussi, dis-je.
- Pourquoi ? Reste encore avec moi ... dit Zayn en me tirant vers la piste.
- Mmmmh, je sais pas si c'est une bonne idée Zayn...
- Ni... dit-il doucement en dansant contre moi, il alla à mon oreille et continua à parler. On est pas bien là ? Tous les deux ?
- Le problème c'est que t'es bien tout mignon mais t'as bu, on s'amuse, demain tu passes à autre chose et moi je sais de nouveau plus quoi penser.
- Tu veux pas profiter ? me dit-il doucement, en déposant un bisou sur la peau tendue de mon cou. Je frissonnai. Je sentis son sourire s'élargir.
- Je veux plus parce que je commence à avoir des sentiments, et toi c'est juste du fun, de l'amusement, et on peut le dire à personne.
- Pourquoi tant d'étiquettes et pourquoi le dire à tout le monde ?
- Tu sais très bien ce que je ressens pour toi. Et t'en joues pour baiser.
- T'aimes pas quand on se fait des bébés ? dit-il sensuellement.
- C'est pas la question. Je vais rentrer, dis-je en m'éloignant de son étreinte. J'allai chercher mon manteau et je partis.
- Niall ? entendis-je derrière moi alors que je partais.
- Zayn lâche moi, s'il te plaît, dis-je sans me retourner. Il m'attrapa par la main et me retourna et me tira vers lui.
- Regarde moi beau gosse, dit-il. Je le regardai. Ses yeux brillent et ça m'a toujours fait craquer. Sa main se posa sur ma hanche avant de monter et de soulever légèrement mon t-shirt. La dernière fois, je t'avais fait du bien, non ? demanda-t-il en se pinçant les lèvres.
- Zayn, c'est encore une fois pas la question. Tu me fais du bien, une heure, deux heures, une soirée et puis quoi ? C'est pas toi qui te sens mal des semaines en espérant que ça se reproduise.
- J'ai jamais voulu te faire du mal, dit-il en fronçant les sourcils.
- Je peux partir ? dis-je sur le même ton, un peu énervé.
- Je... J'aimerais que tu restes.
- Non.
- Dors chez moi ce soir, j'habite juste à côté, 5 minutes à pied.
- Je sais où tu habites, oui, j'ai pas oublié la dernière fois. Je regardai ses lèvres. Et dire qu'on a couché ensemble 7 fois sur 2 ans, et on s'est jamais embrassé. Je suis rien qu'un morceau de viande.
- C'est un oui ? dit-il avec un grand sourire. Je sentis mes yeux se mouiller, il m'attrapa la joue. Un film et des câlins ? Rien de plus, promis.
- D'accord, répondis-je. Je regrettai directement. On marcha et il me prit la main en me regardant de temps en temps mais je ne le regardai pas en retour. On arriva chez lui. Il ferma derrière lui. Il enleva mon manteau et mon pull. Il se réfugia dans mes bras et me fit un câlin, pour la première fois.
- Je sais que je te fais du mal mais si tu crois que je joue avec toi, je le prendrai mal.
- T'as pas le droit de prendre mal quoi que ce soit. Je t'ai proposé à chaque fois de se mettre ensemble, d'essayer mais à part me la mettre, rien de plus ne semble t'intéresser.
- Sois pas méchant, dit-il en s'écartant.
- On va dormir ? dis-je sèchement. Il acquiesça. On alla dans son lit. On se déshabilla et on se coucha. Il se coucha contre mon torse. Il monta et se nicha dans ma nuque, son souffle chaud, sa main caressant mon ventre. Je soupirai et ma respiration augmenta. Il alluma la télévision. Il mis Netflix et lança Elite, notre série préférée.
