Red Code

CHAPITRE 12

Heyy, excusez-moi, je me permets de voux retenir que quelques secondes avant le chapitre. Je voulez juste vous demander de me donner votre avis sur cette histoire car, c'est vrai que j'ai pas énormement de retour et je dois avouer que les commentaires aident beaucoup à former une histoire. Donc c'est vrai que pour le moment, je n'e sais pas trop trop ce que vous en pensez. C'est pourquoi, si vous voyez quelque chose à commenter, quelque chose où je devrai m'améliorer, des remarques durant l'histoire, n'hésitez surtout pas.

Voilààà c'est tout maintenant je vous laisse avec le chapitre °-° 

***

Je m'assieds comme à mon habitude sur ma chaise et, les paroles d'Adam ne cessent de raisonner dans ma tête, malgré moi. J'aimerais bien les oublier.

Je me souviens du peu d'appels que j'avais avec Yelena et, elle ne m'a jamais rien dit qui m'ont alarmé. Lors de son dernier appel, elle ne me disait toujours que du bien. Pas forcément de Maria, mais, de la situation, de son job en général.

Elle me disait qu'elle en était satisfaite, qu'elle avait beaucoup de chance d'avoir obtenu ce job. Certes, elle me disait des fois qu'elle s'ennuyait.

Je me souviens d'une seule fois où elle m'avait chuchoté qu'elle avait peur.

***

Il y a 4 ans et 5 mois...

— Allo ? Justin ? Tu m'entends.

— Oui, je t'entends. Tu vas bien ?

— Oui, tout va bien. J'ai encore et encore une fois demandé des vacances, mais c'est toujours interdit. Ils veulent qu'il y ait le moins de monde possible qui la voit.

— C'est horrible. Tu n'aurais jamais dû accepter.

Elle soupire. Elle ne m'a jamais dit qu'elle détestait son boulot de surveillance même si j'ai l'impression que c'est le cas. Comment ne pas faire de burn out ?

— Non, tu ne t'en rends pas compte. J'ai beaucoup de chance d'avoir ce boulot. C'est une vraie renaissance.

Je ricane légèrement sans vraiment comprendre pourquoi elle utilise mot aussi poétique dans une conversation aussi critique.

— Une renaissance ? À ce point ? Est-ce qu'ils comptent la tuer au moins ?

Je l'entends toussoter légèrement. Elle ne répond pas de suite.

— Je ne sais pas du tout. Elle était censée mourir il y a longtemps, mais, bizarrement, elle ne l'est toujours pas.

— Je vois.

C'est vrai que c'est une situation particulière. Cela va faire 4 ans et 2 mois que Yelena surveille la petite Alvarez et elle est déjà censée être morte. Ce n'est pas normal qu'ils ne la tuent pas.

— J'ai peur, chuchote-t-elle.

— Comment ? Je lui demande, surpris, car, je ne l'ai jamais entendu une seule fois me dire qu'elle a peur.

— J'ai oublié de te dire. J'ai vu quelque chose de beau. J'ai découvert que les humains seront satisfaits un jour. Oui, ce sera quelque chose d'étrange. Concrètement, ce sera une chose concernant un réel changement. Cela va être très spécial concernant l'avenir de ce monde. Les humains vont vraiment aimer le gouvernement et ils comprendront que tout est faux, tu vois ?

— Hein ?

— Je te laisse, il faut que j'y aille.

***