Douce vengeance

Chapitre 38

Bonjour\ Bonsoir tout le monde ! Voilà, je laisse ce mot en début de chapitre tout d'abord pour vous remerciez.
Merci de lire mon histoire et de m'encourager à travers vos votes et vos commentaires. Ça me fait tellement plaisir à chaque fois que j'allume mon téléphone et que je vois une notification d'abonnement, de commentaire ou de vote.

J'ai récemment atteint le millier de vues. Bon, ce n'est pas extraordinaire mais pour moi, autrice en herbe qui avant passait son temps à grifonner des sénarios dans ses cahiers de brouillons, c'est énorme. Je ne m'attendais vraiment pas à ce que cette histoire soit aussi lue.

Pour tout vous dire, je suis pas vraiment une pro quand il s'agit de romance. Et Douce vengeance est d'ailleurs la romance la plus longue que j'ai écrite ( les autres avaient moins de 17 chapitres ) et celle que j'ai le plus aimé écrire. Et elle n'est pas encore finie ! Donc j'espère que vous, les lecteurs, vous m'accompagnerez jusqu'à la fin de cette aventure wattpad. Et encore merci pour votre soutien 🥰

Bref, je cesse de beaucoup parlé et sans plus tarder, je vous laisse à la lecture.

Pdv Alyson

Je courais jusqu'à ma chambre et m'y enfermais pour laisser s'échapper mes sanglots. Je sauttais littéralement sur mon lit et me mit et abattre mes poings et mes jambes dessus. J'hurlais comme une malade dans les oreillers puis pleurais à en prendre le souffle. J'étais habitée d'une folie destructrice qui me donnait qu'une envie, tout détruire. Tout casser autour de moi. Mais je refrenais cette envie et laissais mes larmes seules me sortir de cet état.

Je voulais juste qu'il m'écoute, qu'il me comprenne et qu'il me conseille. J'avais besoin de son soutien. Mais tout ce qu'il a réussis à me transmettre, c'est sa colère, sa peur pour moi et sa peine. Sa peine de me voir tourmentée par ces événements qui me suivent depuis des années. Sa peine de me savoir dans l'insécurité. Sa peine de me voir souffrir. Je sais que ma souffrance le tue. Je sais que mes larmes l'enterre. J'aimerais qu'entre nous il y ai plus de place pour les tourments. Mais le problème, c'est qu'ils me suivent. Ils sont toujours présents. Ils font partie de moi. Et m'en défaire serait impossible. Alors tand qu'ils me rongeront, Logan sombrera avec moi. Parcequ'il est mon frère. Mon unique. Et le lien qui nous lit est tel que ma souffrance est sienne. Et tand que je ne serais pas heureuse, lui non plus ne le sera pas. Je le sais. Et c'est pour cela que je me bats. Pour ne pas paraître faible à ses yeux. Pour ne pas me laisser pourrir par ma souillure. Pour ne pas me laisser mourir dans ses bras. Je me bats. Mais ça ne suffit pas. Je le sais. Il le sais. J'ai besoin de ses mots et il a besoin de miens. J'ai besoin qu'il me rassure et il a besoin que j'en fasse autand. J'ai besoin de son affection et il a besoin de la mienne. Nous sommes complémentaires. Et c'est comme ça.

Pourtant, mes mots n'arrivent pas à sortir. Je n'arrive pas à lui parler. Et il le sait. Et je sais que ça le ronge. Car il m'attend depuis des années. Et je ne lui ai jamais parlé. Je ne lui ai jamais dit ce que j'endurais. Je n'ai jamais voulu qu'il souffre avec moi. Mais c'est bien ce qu'il fait. Il prend mes douleurs et les garde pour lui. Mais il en fait déjà trop pour moi. Et je ne supporterai pas qu'il en fasse plus. Donc je me tais et j'avale. J'endure et je me bats.

- Alyson ! Ouvre cette porte! Ouvre-moi !

J'entendis mon frère hurler de l'autre côté de cette porte. Je savais qu'il s'en voulait et qu'il s'inquiètait pour moi. Je savais qu'il avait mal de ses mots tout comme moi.

- Va-t-en ! Hurlais-je catégorique. Va-t-en casser des verres et fiche moi la paix !

Les larmes coulaient en cascades sur mon visage et se réfugiaient dans le creux de mon coup. Je ne prenais même pas la peine de les essuyer. Je laissais ma douleur s'écouler avec elles.