Chapitre 48

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PDV Liam


La musique résonnait dans la maison depuis mon arrivé il y a une heure. Il était déjà vingt heure cinquante. Dylan m'avait envoyé un message pour me dire qu'ils étaient déjà en route. Alors j'attendais.

Jenny avait vraiment dû dépenser beaucoup pour cette soirée. Elle avait fait installé un bar et avait même employé des gens dont un barman. J'étais justement assis avec Aaron au bar. Ce dernier se situait dans un coin du salon.

La maison était plongée dans une ambiance de fête avec les legs rouge et bleu qui éclairaient l'espace ainsi que l'énorme boule à facette accrochée au dessus de la piste de danse aménagée pour l'occasion.

Tout autour de moi, il y avait tout un tas de personne occupée à enchaîner les verres sans se préoccuper de l'état qu'ils auront plus tard. J'aurais bien été de ces gens là. Mais là, je n'avais pas besoin de ça. Je ne voulais qu'une seule chose, sa présence à elle. Rien que ça m'aurait suffit. Alors aujourd'hui, Liam ne serra pas de ceux qui profite au maximum, il ne fera pas partie des inconscients. Aujourd'hui Liam ne sera pas seul.

Je sentis une vibration dans ma poche. Je tendis alors le pied pour prendre mon téléphone et l'allumais. Il s'agissait d'un message de Alyson.

‹‹ Je ne viendrai pas ››

Je fronçais immédiatement les sourcils. Comment ça elle ne viendra plus ? Dylan m'avait pourtant informer qu'ils étaient en route. Qu'est ce qui s'était passé ?

- Qu'est-ce qui se passe ? Fit Aaron à côté de moi.

Je relevais la tête vers lui pour lui répondre. Mais la rabaissais aussitôt qu'une nouvelle vibration se fit sentir.

‹‹ Je plaisantais, je suis là ›› accompagné d'un emojis rire.

Un sourire se dessina automatiquement sur mes lèvres.

‹‹ Tu es où ? ›› envoyais-je.

‹‹ À l'extérieur ›› répondit-elle.

‹‹ Je suis assis au bar dans le salon ››

‹‹ J'arrive ››

Puis, mon téléphone reprit place dans la poche avant de mon jean noir.

- À en juger par la gueule que tu fais, obligée elle est là, déclara Aaron avec un sourire en coin.

Je lui répondit d'un simple regard qu'effectivement elle était bien là. Il se mit ensuite à rire.

- Fais quand même gaffe à elle hein, elle est encore mineur.

Je balayais du regard la pièce avant de lui répondre :

- Ça tombe bien, je le suis aussi.

- C'est ce que tu essaies de nous faire croire. Mais on connaît tous la vérité cher Anderson.

Il se mit à sérieusement rigoler comme un demeuré puis se remit à parler mais à cet instant, ses paroles ne faisaient que passer. J'étais soudainement déconnecté.

Douce vengeance Où les histoires vivent. Découvrez maintenant