TW — viol, agression sexuelle
M A T H I E U
— CLAMART, 10:00
Apres qu'on m'ai dit que je pouvais sortir, je me suis pas fais prier pour me dépêcher de sortir de cette cellule qui pue la pisse. J'étais en train de refaire mes lacets quand j'ai entendu des pas venir vers moi. J'ai levé la tête et j'ai salué Jordan qui était venu me chercher.
Jordan « Nizaa m'a envoyé te récupérer, elle a préféré rester avec mamie. »
Moi « Elle a bien fait. »
On s'est dirigé vers la voiture, ce qui me choque un peu c'est que mon père est resté en gardav alors que pour ce qu'il a fait il aurait dû sortir en même temps que moi. Jordan m'a déposé en bas de chez mamie puis je suis rapidement monter pour les rejoindre.
Quand j'ai ouvert la porte, tout était encore en désordre, la radio que avait utilisé mon père pour entrer était encore au sol, les meubles décaler qu'on avait pousser pendant notre bagarre était encore au milieu du chemin et les filles toujours au salon en train de parler. Il manquait juste ma mère.
J'ai embrassé le front de Nizaa et j'ai serré dans mes bras ma grand-mère qui avait eu plus de peur que de mal.
Mamie « Merci de m'avoir défendu mon fils. »
Moi « Pourquoi tu m'as pas appelé dès le départ mamie ? Heureusement que Moussa m'a appelé. »
Mamie « Parce que je sais que ça aurait fini en bagarre et j'ai peur pour toi, tu dois te faire discret auprès de la police. »
Moi « Mais là c'est pas pareil mamie, je t'ai juste défendu c'est pas comme si j'ai vendu une plaquette. Si je n'étais pas arrivé il t'aurai frapper toi et maman, je veux que tu m'appelles à chaque fois que tu es en danger. » _ soupire « D'ailleurs, pourquoi il était là? Pourquoi il était si violent? »
Après ma question il y a eu un silence assez gênant, j'ai froncé les sourcils et j'ai regardé Nizaa qui évitait mon regard. Qu'est-ce qu'elles me cachent?
Mamie _ larme au yeux « Je penses que c'est ta mère qui doit te le dire. »
Moi « Comment c- »
Nizaa « C'est un peu délicat Mathieu et je penses qu'il faut que tu ai cette conversation avec ta mère. »
... « Elles ont raison. »