Chapitre 31

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Astrid: Oh mon dieu, elle est trop lourde cette valise.

Je soupire alors que je descends les escaliers de chez moi. Aujourd'hui, on part à Monaco!

Je remercie mon chauffeur qui vient m'aider à descendre mes bagages jusqu'à la voiture.

Je dit au revoir à mes parents et m'installe dans la voiture.

Je prends ensuite mon téléphone pour appeler mon copain.

«Astrid: Allo, babe?

Léon: Bonjour mon coeur, je suis à l'aéroport dans trois minutes.

Astrid: Pourquoi tu ne m'as pas prévenu plutôt, tu vas rester attendre, j'aurais pu me dépêcher.

Léon: Tranquille, toi t'es où?

Astrid: Je suis en route.

Léon: Ah bah ça va alors.

Astrid: Bon, bisous!

Léon: À toute! »

Une fois arrivée, je me dirige vers l'entrée principale puis vers la zone réservée aux vols privés. Je retrouve Léon, que j'embrasse pour le saluer.

On passe les enregistrements, la sécurité et l'embarquement, nous sommes désormais installés dans l'avion.

Le vol dure environ une heure et demie. Et ce dernier se passe assez rapidement animé surtout par nos discussions et nos câlins.

Une fois arrivés à Nice, nous descendons sur le tarmac. Il fait nettement plus beau que Paris, c'est fort agréable.

Je vous passe le reste du trajet en voiture jusqu'à Monaco.

Nous remercions le chauffeur et nous descendons du véhicule.

Astrid: Oh ça m'avait trop manqué!

Léon: Ça fait longtemps que t'es pas venue?

Astrid: Depuis trois mois peut-être.

Il hôche la tête et enchaîne.

Léon: C'est magnifique en tout cas.

Astrid: Oui, c'est beau.

Nous nous dirigeons vers mon appartement. Mes parents me l'ont offert pour mon vingtième anniversaire.

Astrid: Bienvenue chez moi!

Léon: Wow, c'est super. Et la vue, elle est incroyable.

J'en étais pas peu fière.

Nous déposons nos valises et nos affaires avant de nous changer pour aller déjeuner dans la ville.

Nous décidons d'aller au Grill, qui se trouve être un restaurant au cœur de l'Hôtel de Paris à Monte-Carlo, offrant des vues à couper le souffle sur la mer et au-delà.

Normalement, c'est sur réservation, mais je pense que ça peut passer!

Nous arrivons au restaurant et nous nous présentons à l'hôte, un homme élégant avec un sourire accueillant.

Astrid: Bonjour! Nous aimerions une table pour deux, si possible.

Hôte: Alors nous sommes complets pour le moment. Mais heureusement, nous réservons toujours quelques tables pour une clientèle comme vous.

Il s'éloigne et revient quelques instants plus tard.

Hôte: Suivez-moi, s'il vous plaît.

Nous nous installons à une table avec vue sur la mer.

Nous parcourons le menu, et je suis impatiente de déguster les plats de ce restaurant, ils sont incroyables! Je commande des fruits de mer, tandis que Léon opte pour un steak grillé.

Alors que nous attendons nos plats, je sors mon téléphone pour prendre quelques photos de la vue. À ce moment-là, mon téléphone me rappelle que des amis doivent nous rejoindre plus tard pour la soirée.

Astrid: Par contre, j'ai hâte que J'ai hâte que tu rencontre mes potes.

Léon: Est-ce qu'ils sont aussi bruyants que dans les paddocks?

Astrid: Oh, tu n'as aucune idée. Je lui dis en riant.

Peu après, nos plats arrivent.

Nous continuons à discuter, à échanger des anecdotes et à déguster nos plats. Une fois le repas terminé, Léon insiste pour payer.

Léon: Ça te dit une promenade?

Astrid: Oh oui, on peut aller au port à pied. On s'est mis d'accord avec les gars pour se retrouver dans le coin de toute façon.

~

Je suis de retour 🥳
(pour l'instant mdr)

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Les JO en LV - Léon MarchandOù les histoires vivent. Découvrez maintenant