🌜VII🌛

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C'était un rêve ? Avais-je bien entendu les mots prononcés par l'homme qui se tenait devant moi ?

Il rapprocha son front du mien.

- Léandros : Et maintenant que je t'ai retrouvée, je refuse de perdre une seule seconde. Je veux t'aimer comme tu mérites de l'être. Je veux te chérir, te protéger, t'adorer. Chaque jour.Chaque nuit. Chaque instant.

Je restai figée, comme pétrifiée par l'ampleur de ses mots. Tout c que j'avais entendu était irréel. Mon cœur battait si fort que j'avais l'impression qu'il allait exploser.

Léandros m'aimait ? Il venait de me le dire, clairement, sans détour.

Il m'aimait.

Depuis combien de temps avais-je rêvé de ce moment ? De cette déclaration ? Et voilà qu'il était là, devant moi, m'offrant tout ce que j'avais toujours secrètement désiré.

Depuis combien de temps avais-je rêvé de ce moment ? De cette déclaration ? Et voilà qu'il était là, devant moi, m'offrant tout ce que j'avais toujours secrètement désiré

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Un bonheur immense m'envahit, m'enveloppa, me submergea. Mes yeux se remplirent de larmes sans que je puisse les retenir.

- Léandros : Tu m'as dit que tu avais des sentiments pour moi, Azelia... souffla-t-il. Alors, si ton cœur n'a pas changé, viens. Viens et aimons-nous Khalessi. Sans retenue. Sans peur.

Je fondis en larmes, incapable de m'arrêter.Il sembla paniqué, perdu face à ma réaction. Il tenta de relever mon visage, ses yeux emplis d'inquiétude.

- Léandros : Je suis désolé... j'ai dit quelque chose qu'il ne fallait pas ? Je ne voulais pas te faire pleurer... je...

Je posai ma main contre sa joue pour le rassurer, tout en essayant de calmer mes sanglots.

- Ce n'est pas ça... murmurai-je, la voix brisée . Tu ne peux pas savoir combien j'ai prié pour ça. Pour t'entendre me dire ces trois mots... Et maintenant que tu les dis, j'ai l'impression de vivre un rêve éveillé...

Je n'eus pas le temps d'en dire plus. Aussitôt ses lèvres vinrent capturer les miennes, et tout s'arrêta.

Je m'accrochai à sa nuque comme si ma vie en dépendait, comme si, en rompant ce contact, tout ce qui venait de se passer allait s'effacer

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Je m'accrochai à sa nuque comme si ma vie en dépendait, comme si, en rompant ce contact, tout ce qui venait de se passer allait s'effacer. Ce n'était pas un baiser passionné comme dans les contes. Non, c'était bien mieux. C'était une promesse silencieuse que plus rien ne serait jamais plus comme avant. Il n'y avait plus de douleur, plus de peur, plus de doute.
Il y avait juste lui.
Juste moi.
Juste nous.

La meute d'arcadÿs🌗: Un mariage presque arrangéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant