Chapitre 4✔

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Chapitre réécrit, de 674 mots à 1350

Lilia en média

PDV Eva


Je me réveille de nouveau, mais cette fois-ci, je ne suis ni attaché à une chaise, et mes yeux ne sont plus bandé. J'ouvre difficilement les yeux et me redresse d'un bon. Ma tête se mais alors à tourner. Je pose mes mains froides sur mon front bouillant en grimaçant à cause de la forte douleur. Après quelques minutes a reste dans cette position, je regarde autour de moi et me lève doucement. Je suis évidemment dans ce qu'il me semble être une cave. Tout est sale et vieux. L'odeur forte de la poussière m'oblige à forcer le nez de dégout. J'étais allongé sur ce que l'on pourrait appeler un lit de fortune. Un très vieux matelas en sale état, dégoutant, avec un petit drap tout fin avec des traces de sang. Je regarde autour de moi et aperçois sur les murs des traces de sang et de griffe. Je comprends alors que je ne suis pas la première à être enfermée ici. Il y a une toute petite fenêtre, je m'approche d'elle avec espoir et jure en voyant que derrière celle-ci, il y a des barreaux. Je me dirige ensuite en tâtonnant les murs dans l'obscurité à la recherche de la porte qui je suis sûr et certaine sera fermer. Mais bon je préfère tout de même essayer. Je trouve alors une porte métallique, je pose ma main sur la poigner et hurle de douleur. Cette foutue poigner est en argent. Ma main me brule et je sais qu'elle ne cicatrisera pas tout de suite. C'est ce que l'argent nous fait à nous les loups garous. Si j'avais de l'eau j'aurais surement pue me soigner mais je doute qu'il y est la moindre trace d'une goutte d'eau dans cette pièce.

Je soupire en grimaçant de douleur et retourne à l'aveuglette vers ce qui devrait être un lit. Je m'allonge dessus en grimaçant de dégout cette fois. Qui sais ce qu'il c'est passer sur ce lit ou avec ces draps. Je secoue la tête pour effacer tout image des horreurs qui mon traverser l'esprit. J'attends alors dans le froid et l'obscurité. Petit à petit mes membres se mirent à trembler. Glacée, je prends à contre cœur les draps et m'enroule dedans. Mais j'ai toujours aussi froid, ma tête et ma main me font toujours aussi mal. Alors j'attends de nouveau, replier sur moi-même. Me torturant l'esprit à me demander ce qu'il se passera plus tard.

Je sursaute et fronce les sourcils en entendant le verrou puis la porte s'ouvrir dans un grincement terrifiant. Je me lève et regarde les trois personnes arrivé tout en me plaçant en position de défiance. Un des hommes dois surement avoir l'âge de mes parents, une fille qui dois être un peu plus petite que moi et d'un garçon un peu plus vieux que moi. Les trois s'approche de moi alors que le plus vieux ricane en posant une lampe au sol, tout en me regardant.

-Alors notre petit cadeau sur la pogner de la porte ta plu ? Ricane l'homme le plus vieux.

Je ne réponds rien et me contente de lever les yeux au ciel.

-Tes parents ne ton donc jamais dit que c'était impolie de lever les yeux au ciel Eva ? Continue-t-il amusé. Ça m'étonne d'eux.

-Ne parler pas de mes parents. Soufflais-je confuse et énervée. Et puis comment connaissez-vous mon prénom ?

-J'ai mes contacts.

-Pourquoi m'avoir enlevée ?!

-C'est à cause d'une veille histoire.

-Qu'elle histoire ?

-Je vais déjà me présenter, je suis Maxence. Je te présente ma fille Lilia et mon fils Ethan. Je suis un vielle ami de ta mère. Elle doit surement t'avoir déjà parlé de moi. Tu dois surement aussi savoir ce qu'on fait tes parents à ma meute et à ma famille.

-Oui. Je me souviens de vous. Vous avez détruit notre meute et ma famille. C'est vous qui êtes en faute. Mes parents non rien à se reprocher. Ce qu'il est arrivé aux vautres et tout simplement de votre faute. Dis-je avec rage.

Maudite-Tome 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant