Partie 23

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Quelle surprise. J'étais vraiment étonnée de le voir ici, et dans cette tenue... Même si le fait de le voir avait le don de m'agacer, qu'est ce qu'il est beau en chemise, pantalon pince.

Moi: Euh... Bonjour monsieur.

Il esquisse un sourire, il se moque de moi là ?

Lui: Qu'est ce que je peux faire pour toi ?

Moi: Alors comme ça tu travailles ?

Lui: On dirait bien que oui.

Moi: D'accord... Tu peux me ramener ma voiture s'il te plaît.

Lui: Ta voiture, me demande-t-il en riant, tu as une Porsche toi maintenant.

Moi: Haha non, mais je viens récupérer la voiture de mon patron, monsieur Ozël.

Lui: Ah oui, le bijou qui nous est arrivé tout défoncé. Tu as les papiers ?

Moi: Les voilà, rétorquais-je en lui donnant les papiers.

Il s'en va checker que tout est en règle et revient me voir avec les clefs. Il me les rend, puis au moment où je viens pour les saisir, il retire sa main.

Lui: Je peux savoir au moins, pourquoi c'est toi qui vient chercher la voiture de ton patron ?

Moi: Parce-que c'est comme ça, lui dis-je tout près de son visage, en saisissant les clés rapidement.

Lui: Faïza...

Moi: Bonne fin de journée à vous.

On monte toutes les trois dans la voiture, toutes excitées à l'idée de pouvoir monter dans une telles voiture.

Sevda: Laissez-moi la conduire, nous les Keturs on est des pilotes.

Jamela: Mais mddr, ça se voit sur la voiture de ton père, tu lui as fais le hela.

Sevda: Mais ta gueule toi, sa voiture elle est trop longue.

Moi: *rire* Bande de folles.

Jamela: Nan plus sérieusement, nous on a ta voiture à emmener Sevda, on va pas revenir à pieds.

Sevda: Ah oui c'est vrai, ma vieille clio 3. *rire*

Je démarre et vais en direction de la société ou je travaille, afin de déposer la voiture entre les mains d'Erdem. Je dépose les clés sur son bureau, mais en passant devant la salle de réunion, où il se trouvait avec les investisseurs, Erdem me voit et sors de la salle pour m'interpeller.

Moi: Oui ?

Erdem: Merci d'avoir fait ça.

Moi: Pas de soucis, c'est mon travail. Je dois y aller.

Lui: Attends. Je sais qu'aujourd'hui j'avais pas le droit de te déranger. C'est juste qu'en empruntant la voiture de mon père, j'ai eu un accrochage. Je voulais pas qu'il s'en aperçoive et je pouvais pas non plus laisser tomber M.Allen. Et tu étais l'unique personne en qui je pouvais avoir confiance.

Les fins heureuses n'existent pas [1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant