PDV Daevon
Cela ne fait qu'une minute. Une minute que je frotte ma queue à celle de Kei, et pourtant, il couine déjà.
- Daevon...s'il te plaît...
Son torse se soulève à chacune de ses respirations, nous en avons tous les deux envie. Je me penche encore, et plonge la tête dans son cou, y déposant mille et un baisers, sous ses couinements pas vraiment virils, mais je m'en fiche. Je me redresse, et prend le temps de le regarder, de l'apprécier.
Sa peau laiteuse est devenue luisante, ses cheveux sont mouillés, ses joues sont magnifiquement rosées, ses lèvres roses à demi-entrouvertes me possèdent, me tentent, ses jambes écartées qui m'ouvrent les portes de son intérieur, tout, oui, tout est à moi. Je souris à cette pensée, fier de mon mari.
A la vue de tout ça, une douce pression vient envahir mon bas ventre, et je le tourne sur le ventre, lui collant ainsi la tête à l'oreiller, avant de me pencher et de commencer à pousser ma queue à l'intérieur de son cul, centimètre par centimètre. Je peux sentir sa respiration accélérer au fur et à mesure que je m'enfonce en lui. Une fois que je suis complètement en lui, je lui donne un premier coup de rein, sec, bien placé et directe, un couinement de plaisir passe ses lèvres. Je lui en donne un deuxième, puis un troisième. Puis, je commence à faire des vas et viens, lui donnant de plus en plus de coups de rein, plus rapidement, plus violemment. Au fur et à mesure, nos corps deviennent transpirant, nos respirations saccadées. J'agrippe sèchement ses cheveux d'une main, et sa hanche de l'autre, je le sens se serrer autour de ma queue.
- Kei, t'es si bon. Grognai-je en le pilonnant.
Kei essaie de dire quelque chose, mais sa voix est noyée par ses gémissements sexy et ses petits cris de plaisir. Son dos est courbé au maximum. Chacune de ses plaintes m'excite de plus en plus, et j'accélère le mouvement, le prenant plus durement encore, tirant ses cheveux plus forts.
- Mmh! Plus...fort! Encore! Ah!
Je lui donne encore trois coups de reins, puis je viens en lui, et, haletants, nous nous fixons tout les deux, jusqu'à ce que je me retire enfin de lui. Je m'écroule ensuite à côté de lui, et reprend mon souffle.
Alors que je pensais que, comme d'habitude, il serait totalement épuisé, en une demi-seconde, mon visage se retrouve face à celui de Kei, totalement rougi, les cheveux en bataille, les yeux baignés par le désir. Il se met à califourchon sur moi, et tente de s'enfoncer lui même ma queue, mais, je l'en empêche, et il semble à la foi vexé et en pleine incompréhension. C'est le moment.
- Dis moi ce que tu me caches, Kei.
Il fronce les sourcils, semble chercher quelques secondes pour savoir de quoi je parle, mais il percute finalement.
- Pas question.
- Alors pas de supplément.
- Alors je coucherais avec un autre homme.
J'hausse un sourcil.
- Tu n'oserais pas.
Il descend et roule jusqu'à l'autre bout du lit, je le regarde faire, et il prend son téléphone.
- Tu fais quoi là ? Demandai-je prêt à le tuer.
- J'appelle.
- Qui.
- Des hommes.
Il ne m'en faut pas plus. Je lui bondis littéralement dessus et lui arrache le téléphone des mains. Il tente de le récupérer. Je rêve.
- Rends moi mon téléphone ! Crie t-il à mon attention.
- Pas question.
Il commence à me donner de petits coups sur le torse. Je crois que je vais le défoncer.

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Madness.
Fiksi UmumKei, 16 ans, est un bon étudiant tranquille. Il est issu d'une famille stable de 5 enfants et assez riche, qui a accepté sa bisexualité, et qui s'entend très bien avec son petit ami, Trevor, 16 ans, qui vient parfois dormir à la maison. Mais toute c...