Le Footballeur & La Journaliste- NAYAxNEYMAR [EN PAUSE]

Chapitre 58

On passa une après-midi superbe à rigoler tous ensembles comme des gamins, ça m'avait fait tellement plaisir de retrouver ma famille. Mes grands-parents n'arrêtaient pas de raconter des histoires les plus humiliantes, les unes que les autres de ma petite enfance. On passa à table pour le dîner.

-Vous restez dormir, ce soir, non!? Demanda ma grand-mère.

-Mamie, il a loué une maison pas tres loin d'ici, ça va aller!

-Mais moi, je vous laisse pas partir à cette heure-ci! Intervint mon papi.

-Si, on a pas le choix! Rigola Neymar.

Le repas fini, on regarda tous un petit film d'action avant que toute ma famille montent se coucher pleine de fatigue. Je me rendis alors dans la cuisine pour faire la vaisselle, à peine avais-je poser le dernier verre propre que Monsieur m'embrassa dans le cou, je me laissai faire et terminai d'essuyer le lavabo. Une fois ma vaisselle réellement finie, il me mit face à lui, dos au plan de travail continuant ses baisers de plus en plus bas sur mon corps.

-Tu m'expliques ce que tu fais là!? Demandais-je entre deux baisers.

-Tu vas bientôt le savoir! Fit-il de sa voix sexy en me posant sur le bar.

J'enroulai mes jambes autour de sa taille toute en enlevant sa chemise laissant apparaître son torse musclé qui me faisaient totalement craquer pendant que lui me retirait délicatement ma robe.

-Oh peut pas faire ça, y'a toute ma famille, ici! Dis-je en me tordant de plaisir.

-Tout le monde dort ici, et puis cette robe, tu m'as chauffer avec toute la journée!! Se défendit le brésilien qui me bombarbait de baisers.

Je n'eus même pas le temps de répondre qu'il m'embrassa langoureusement et dire qu'on allait le faire dans la cuisine, cela n'avait pas l'air de trop le déranger en plus puisqu'il descendit ses caresses sur mes jambes pendant que moi, je lui griffais presque le dos. Je lui déboutonnai le pantalon et lui enlevai pendant que lui jouer avec ma généreuse poitrine. Je lui retirai carrément son boxer et fis ce que je devais faire avec pendant qu'il se retenait le plus possible de lâcher des bruits, dois-je rappeler que ma famille était juste là-haut quand même. Sans même me prévenir, il rentra quelques doigts vers mon intimité, je ne pus m'empêcher de lâcher un cris de surprise, il continua pendant un long moment avant de me demander l'accès. J'acquiesai, il commença des vas et viens lent et doux puis ils devinrent de plus en plus proches, secs et violents ce qui me laissai échapper des petits cris de plaisir.