Chapitre 64

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Je sentais une grosse source de lumière me frapper en pleine figure me forçant à ouvrir les yeux, je constatai que les rideaux étaient ouverts, nous avions oublié de les fermer la vieille. Le footballeur ne tarda pas lui aussi à se réveiller avec toute cette lumière qui rentrait dans la chambre, malgré tout il se cala instinctivement dans mes bras la tête sur ma poitrine. Je refermai alors mes bras sur son corps chaud et commençai à caresser délicatement ses petits cheveux pas coiffés, un réveil un douceur comme il les aimait.

-Je pourrai rester des années entières... Souffla-t-il.

-Pas moi, je commence à plus sentir mon corps! Riais-je.

-Toujours, tu me gâches tout, enfaite! Dit-il en appuyant le cousin sur mon visage.

-Tentative d'homicide sur sa copine!! Criais-je.

-Je vais pas faire que de te tuer si tu continues! Ajouta le brésilien.

-Je crois pas, non. Tu vas rester calme, OK! Le menaçais-je.

-Tu me menaces! Tu me menaces!! Fit-il en se levant.

Sa phrase à peine terminer qu'il se leva et me prit dans ses bras comme un vulgaire sac. Il me jeta dans sa baignoire à l'italienne et alluma l'eau sur moi, l'eau était mais plus que glacial, ce qui me laissai échapper un cri sourd.

-T'es un grand malade, enfaite!! Criais-je.

-Ça t'apprendra à vouloir un peu trop jouer à la maligne avec moi! Rigola-t-il. Et puis t'es pas trop mal, comme ça! dit-il sourire en coin.

En même temps, ma pauvre petite brassière blanche était devenue plus que transparente et me coller à la peau sans parler de mon short, le footballeur pouvait se rincer l'œil tranquillement. Gentil comme il était, il m'apporta ma brosse pour que je puisse me laver les dents, il ne voulait surtout pas que je salisse sa belle salle de bain. Après tout cela, il rentra dans le bain juste en caleçon et se laissa carrément tomber sur moi. Il en profita pour me faire quelques tendres baisers dans le cou accompagnés de petites traces violacées sur ma poitrine. Tout commencer à se réchauffer ici, pas seulement l'eau mais aussi la tension entre nous. Nous étions tous les deux seulement vêtus de notre bas, il jouait avec mes seins et faisait descendre sensuellement sa main vers mes cuisses pendant que moi, je ne pouvais m'empêcher de laisser quelques traces sur son dos tellement le désir était grandissant quand on entendit du bruit. Du bruit, puis des pas, puis des voix, les autres étaient déjà de retour à la maison et cela coupa net le brésilien dans son élan lui qui d'habitude ne faisait pas si attention que ça aux autres quand l'envie le prenait, s'arrêta quand même. Cela me semblait bizarre, alors je l'interrogeai du regard.

Le Footballeur & La Journaliste- NAYAxNEYMAR [EN PAUSE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant