Le Footballeur & La Journaliste- NAYAxNEYMAR [EN PAUSE]

Chapitre 68

On était maintenant en fin d'après-midi, le temps commençait à se rafraîchir assez rapidement, alors on avait pris possession du salon pour regarder un petit film. J'étais bien à l'aise sous un plaid quand Jo me ramena un bon bol de chocolat chaud, je lui laissai alors un peu de place sous ma couverture puis me calai confortablement dans ses bras et finis même par m'y endormir sûrement morte de fatigue. Quand je me réveillai enfin, je remarquai que je n'étais plus dans les bras de Jo mais dans ceux de mon cher et tendre déjà rentré de l'entraînement.

-T'es rentré quand!? Demandais-je endormie.

-Ça doit faire une heure ou deux au moins! Dit-il en déposant sa manette de Xbox.

-Ah ouais... Soufflais-je.

J'en profitai donc pour mieux m'allonger dans ses bras pendant que lui me caresser les cheveux tendrement. Je remarquai par la même occasion que les filles n'étaient toujours pas de retour à la maison, ce qui semblait de plus en plus bizarre.

-Les filles sont passées où, au faite!? Demandais-je perplexe.

-Elles sont parties en shopping à Madrid, elles reviennent que demain soir! M'annonça-t-il.

-Genre, je vais devoir vous supportez pour moi toute seule jusqu'à demain soir. Me plaignis-je.

-Eh ouais, Nana! Affirma une voix sournoise dans mon dos.

Les autres garçons étaient maintenant revenus de leur soit disant séance de sport qui n'avait enfait duré à peine 30minutes et prenaient possession assez bruyamment comme à leur habitude du salon.

-Oooohhh!! Soupirais-je. C'est bon, vous avez fini votre fausse séance, là!

-Va, soulever une altère et on verra, Mademoiselle! Se moqua Alvaro.

Pour simple réponse à cette pure provocation de plus, je lui offris une grimace mais comme j'étais d'humeur joyeuse, je lui donnai mon beau majeur en supplément ce qui m'a valu un beau visage faussement choqué et indigné de sa part.

-C'est qu'elle est rebelle la petite Brenner, dis donc! Surencherissa Alvaro.

-Jte permet pas déjà et en plus j'suis même pas petite! Me défendis-je avec une voix enfantine.