Worth It ✅

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Attention, ce chapitre est très long et vous ne risquez pas de m'aimer après l'avoir lu. Je m'en excuse, mais je ne voyais pas du tout où je pouvais le diviser.

Dernièrement on m'a fait une demande. Accepteriez-vous que je publie seulement une de mes histoires par jour ? Au lieu de publier Worth it et Apprends-moi la même journée, je pourrais publier l'une d'entre elles le lendemain ou le mercredi.

Donnez-moi votre avis.

Bonne lecture!!

Je regardai l'heure pour la cinquième fois en deux minutes et il était seulement 9 h 5. Jamais je n'allais sortir de son bureau l'esprit clair. Je le regardai pour la dixième fois? Il ne me regardait même pas et continua son travail. 

Je me remis au travail. On partagea quelques mots ils ne furent que sur le travail, à midi, je nous commandai à manger et on s'assoit sur le sofa pour manger.

– Comment ça se fait que tu parles français, espagnol et que tu signes?

Je déposai ma fourchette avant de lui répondre.

«J'ai toujours aimé les langues, à 15 ans, j'ai commencé à suivre des cours d'Espagnole et Français. J'ai commencé à signer après ce qui s'est passé avec mon frère, je ne voulais pas parler aux autres. Et toi? »

– Vince. C'était un passionné de voyages, alors on voyageait souvent. Nos parents voyageaient tout le temps alors on voyageait avec eux. On a eu des tuteurs parlant plusieurs langues.

«Tu en parles combien?»

– Six. Espagnole, Anglais, Français, Allemand, Italien et Grecque.

J'émis un petit sifflement. Autant?!

– Vince parlait japonais, lui.

«Vous vous entendiez bien, pas vrai?»

– On se disputait au moins une fois par semaine quand on était plus jeune, mais jamais ça n'a été sérieux. On se disputait que pour la nourriture et quand l'un piquait le truc de l'autre.

Je n'avais pas connu ça.

On mangea se posant d'autres questions, il me raconta une histoire sur Layla et son mari qui me fit vraiment rire.

«Tu me rends mon string?»

– Pourquoi ça? Tu en as besoin?

«Non, je n'aime pas l'idée d'être nue au travail.»

– Rien au travail, hein?

«Exactement»

– Tu sors pourtant avec ton employeur.

«Je peux toujours démissionner.»

– Tu sais ce que je veux dire par là.

«Oui, je sais. Je n'ai pas envie que l'on nous découvre en plein ébat un jour dans ce bureau.»

– Personne n'entre dans ce bureau donc tu ne risques rien et je crois que tout le monde ici pense que ça se passe quand on est seuls dans ce bureau.

Il avait malheureusement raison.

– On se remet au travail.

J'acceptai avec plaisir. C'était agréable sa présence dans la pièce. Il faisait souvent des commentaires qui me faisaient rire, me taquinait, imitait sa sœur ou sa mère. Le plus marrant c'était quand il copiait Brittany ou Callie.