Paralyzed

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Logan : HELL YEAH !!! ENCORE UN !!!
Moi : Je te tue quand mon Log d'amour ?
Logan : Euh jamais mon ange ^^
Vanitas : *arrive derrière Logan* Hum hum
Logan : Je vais pas te le piquer mon grand
Vanitas : Y a intérêt ! *montre James* Sinon tu finis comme lui
James : *se cache derrière Kendall et Carlos* Pitié j'ai rien fait cette fois ci !
Logan : o_o Euh d'accord j'y comprend rien mais bon je ferrais gaffe ^^'
Vanitas : C'est bien ^^
Moi : Bon sinon je reprend mon travail ! Donc l'a déjà annoncé Logan, voici encore un texte inspiré de Paralyzed cette fois ci donc bonne lecture ^^

Tu m'as paralysé. Oui, toi, le génie, tu m'as paralysé d'un regard, moi, le bad boy du lycée. Tu as osé te rebellé contre moi, chose que personne n'a osé faire avant toi. Tout le monde s'attendait à ce que je te frappe mais je n'ai rien fais. Je t'ai laissé partir en jurant dans ma tête que je t'aurais la prochaine qu'on se croiserait. J'ai laissé les jours s'écouler avant de m'en prendre à nouveau à toi. Et là encore, tu m'as paralysé d'un regard. Je ne savais que faire alors je t'ai encore laissé partir. Mes amis sont venu me voir et m'ont demandé ce qu'il se passait avec moi, pourquoi moi, le bad boy, se laissait "intimider" par toi, le génie. Je leur ai répondu que je ne savais pas pourquoi mais que la prochaine fois j'allais te faire payer chère. Je me suis mentalement préparer à ton regard et je partis te retrouver, déterminer à te faire comprendre qu'on ne s'en prend pas à moi sans en subir les conséquences. Je t'ai plaqué contre le mur et tu as essayé de me paralyser de nouveau avec ton regard mais ça avait échoué. J'allais pour te mettre un coup dans le ventre quand je sentis tes lèvres sur les miennes. Tu venais de nouveau de me paralyser devant tout le monde et tu en as profiter pour partir. Quand tu fus loin, je repris mes esprits et passais mes doigts sur mes lèvres. Toi, le génie, tu m'avais embrasser, moi, le bad boy, avec tes lèvres fines, douce et sucré. Mes amis vinrent me voir et m'ont regardé comme si j'étais un animal en cage. Je leur ai expliqué ce qu'il s'était passé et ils ont promit de s'occuper de toi si tu me paralysais comme ça. Je leur ai dit que tu en valais pas la peine, qu'on devait te laisser tranquille. Cependant, à la sortie du lycée, mes amis t'avaient attendu et t'avaient attaqué. Quand je vis la scène, je voulus me jeter dans la mêlée mais je ne savais qui aider alors j'ai attendu qu'ils partent. Quand ils furent partis, je t'ai rejoins et tu t'es mis à trembler en reculant. Je t'ai dit que tu n'avais rien à craindre de moi, que je n'allais pas te faire de mal. Tu t'étais mis contre le mur et je m'étais assis près de toi en te lançant ma bouteille d'eau. Tu m'as regardé avec surprise et je me suis mis à rigoler. Tu m'as tendu la bouteille en me disant que tu en voulais pas mais je t'ai forcé à la garder en te disant que ça me faisait plaisir de te la donner. Tu me regardas de nouveau surpris et tu me remercia dans un murmure que j'ai fais semblant de ne pas entendre. On attendit comme ça plusieurs minutes quand tu t'es levé d'un coup et faillis tomber. Je t'ai rattrapé et j'ai regarder tes yeux. Je me suis de nouveau retrouvé paralysé. Tu tentas de me me tirer de ma transe mais tu y arrivas pas. Tu as alors fait comme tout à l'heure et tu m'as à nouveau embrassé. Je repris peu à peu mes esprits et j'ai commencé à sentir tes lèvres contre les miennes. Je t'ai écarté brusquement et tu as parut triste. Tu commenças à partir mais je t'attrapais par le bras, te forçant à t'arrêter. Tu te tournas vers moi et, sans le voir venir, je posais mes lèvres sur les tiennes. Je venais de te paralyser, les rôles s'étaient inversé pendant un court moment. Tu clignas des yeux plusieurs fois et tu compris que ce n'était pas un rêve. Tu baissas les yeux et me proposa timidement de venir chez toi, ce à quoi je répondis favorablement. Une fois arrivé dans ta chambre, on se posa sur ton lit et tu commenças à me poser tout un tas de questions comme pourquoi je t'en voulais tant. Je t'ai alors répondu qu'au début c'était ton côté intello, monsieur je sais tout, mais que depuis un certain temps j'avais ressenti quelque chose de différent. Je t'ai aussi dit que je t'en voulais parce que, à cause de toi j'étais devenu gay, anormal, parce que oui ce que j'avais sentit changé en moi, c'était bien mes sentiments de haine qui s'était transformé en amour. C'était même pour ça que je m'en étais pris à toi. Pour me venger. Mais le baiser de ce matin m'avait fait réaliser quelque chose, que peu importe mon orientation, je resterais moi, même si je perdais des amis à cause de ça. Tu m'as alors pris dans tes bras. Toi, le génie, tu venais de me prendre, moi, le bad boy, dans tes bras frêles. Je t'ai doucement porté et mis sur mes genoux et tu as apposé tes lèvres sur les miennes tendrement. Je me mis à sourire. Tu venais encore de me paralysé. D'habitude, personne ne peut me paralysé, mais toi tu le pouvais. Tu étais le seul à pouvoir me paralysé car tu avais réussi à touché mon coeur. Tu m'as paralysé et le remède c'est toi.

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