Windows Down

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Nico : *voit les BTR* Mon dieu Percy vient pas !
Percy : Pourquoi mon Nico ?
Nico : Parce que si tu viens je te tue !
Percy : *vient quand même et voit les BTR* OH MY GOD !!! C'EST LES BTR !!!
Kendall : *se retourne* Oh un fan *-*
Logan et Nico : Oh par le caleçon de Poséidon on s'en va ! *se regardent* Pourquoi tu me copies hein ? Mais arrête ! RAH JE VAIS TE TUER !!!
Moi, James et Carlos : *mangent du pop corn*
Alya : Vous allez les laisser s'entre tuer ?
Moi, James et Carlos : C'est fun *-*
Alya : Oh mon dieu -_- Bref comme mon cher frère est occupé je vais donc vous annoncer que mon frère est un accro des BTR ! Voilà ça c'est dit ^^
Moi : Hey je suis pas accro ! Je suis juste un Rusher ma petite ! Bref sur ce, je vous laisse avec un autre texte d'inspiration Rushienne ^^ *rit*

Une fenêtre ouverte, toi et moi. C'est par simple fenêtre que je t'ai vu, torse nu en train de faire de la musculation. Je n'avais pas réussi à détacher mon regard de tes muscles, de ton corps finement musclé mais parfait comme ça. J'étais resté ainsi jusqu'à ce que tu me regardes et me fasses un signe. Je me mis à rougir et je partis rapidement sans même prendre la peine de te répondre. C'était par cette simple fenêtre ouverte que je t'avais rencontré. Tous les jours ne passaient pas sans que je vienne t'observer discrètement. Quand tu finissais, tu t'appuyais sur le rebord de la fenêtre et tu semblais attendre quelqu'un, tu semblais m'attendre. Mais je ne me montrais pas. C'était une simple fenêtre ouverte qui me séparait de toi et je n'osais pas m'approcher. Avais-je peur de toi ? Oui j'avais peur de toi même si tu étais quelqu'un de gentil. Oui je t'avais vu jouer avec des enfants dans le parc. Tu avais l'air de bien t'amuser mais quelque chose dans ton regard me disait qu'il te manquait quelque chose. La personne que tu avais vu par cette simple fenêtre ouverte, moi. Un jour, alors que tu étais appuyé contre ta fenêtre, je suis venu te voir. Tu as eu un sourire se dessiner sur ton visage et tu m'as dit que ça faisait longtemps que tu ne m'avais pas vu. Je t'ai alors répondu que j'avais évité de passé ici parce que j'avais peur de ce quartier. Oui je t'avais mentis ce jour là mais je voulais pas que tu me prenne pour un stalker, ce qui était un peu le cas. Tu avais rit et m'avais proposer de devenir mon garde du corps. Je me mis à rire et j'acceptais ta proposition même si j'en avais pas réellement besoin. Tu me proposas alors d'aller boire un verre et je me mis à rougir. Tu te mis à rougir aussi en disant qu'il ne s'agissait pas d'un rendez-vous mais que ça pouvais le devenir. Je t'avais regardais avec surprise et tu m'expliquas que tu étais gay et que tu ne sortais de chez toi que très rarement à cause de ça. Je t'ai regardé avec un regard triste et te demanda de sortir vite ce que tu fis en n'enfilant qu'une veste sur toi. Je t'ai regardais bizarrement et tu me sortis que c'était plus pratique pour toi parce que comme ça tu pouvais aller te doucher plus rapidement. J'ai alors baissé les yeux d'un coup et tu me répondis que tu n'étais pas fou à ce point et que portais quand même des boxers ce à quoi je te répondis par un sourire. On alla alors dans un bar que tu connaissais bien et on se posa à une des tables dans le fond. Tu me regardas et tu posas ta main sur la mienne. Tu commenças à parler mais tu bégaillais à chaque mot que tu disais. Je t'ai alors dit de respirer un grand et que, quoi qu'il arrive, je te dirais oui pour être avec toi. Tu me regardas étonné et tu me demandas pourquoi. Je t'ai alors dit que l'amour pouvait commencer n'importe comment et n'importe où, même en observant quelqu'un faire de la musculation devant une simple fenêtre ouverte. Tu m'as alors embrassé chastement au début puis notre échange commença à se faire de moins en moins timide jusqu'à se retrouver bestial. Ce qu'on ne savait pas c'était que par une simple fenêtre ouverte près de nous, tous nos amis nous avais vu et on faisait maintenant la une de tous les magazines car oui, à présent on formait un groupe avec nos amis et toute la planète était au courant pour nous deux. Une simple fenêtre ouverte a suffit à notre amour et à notre carrière. Une simple fenêtre ouverte a suffit à notre bonheur.

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