Aujourd'hui a lieu le premier match de Quidditch de l'année, Griffondor contre Serpentard. Lors du petit déjeuner, l'atmosphère est tendue, les autres joueurs et moi sommes extrêmement stressés, Serpentard a de meilleur balais que nous. Olivier est tellement stressé que l'on dirais que sa vie est en jeu. Un peu avant onze heure, je prends avec Fred, George, Angélina et Lee la direction du stade. Pendant que Lee part vers les tribunes, nous nous dirigeons vers les vestiaires. Olivier commence son grand discourt habituel. À la fin de celui ci, il se tourne vers Harry.
-C'est toi, Harry, qui devras leur montrer qu'il ne suffit pas d'avoir un père riche pour être un attrapeur digne de ce nom, déclare Olivier. Saisis-toi du Vif d'or avant Malefoy, donne ta vie pour cela si c'est nécessaire Harry, car aujourd'hui, il faut absolument que nous remportions la victoire, il le faut.
-Sans vouloir te mettre la pression, Harry, dit Fred en lui adressant un clin d'œil.
Un rire nerveux nous échappe avant que nous nous levions pour enfourcher nos balais. Nous nous regroupons autour de Madame Bibine, l'arbitre du match. Elle siffle et le match commence. J'attrape le souafle et je fonce vers les buts adverses. Mais je suis rattrapée par deux attrapeurs de Serpentard. Leurs balais sont beaucoup plus rapide que les notre. Plus les minutes passent plus les points de Serpentard augmente. Ils en sont à 60 point alors que nous avons 0. Harry passe rapidement devant moi suivit d'un cognard.
-Fred, m'écriais je. Va aider Harry!
-Mais c'est ce que je fais depuis tout à l'heure, se justifia-t'il. C'est comme un boomerang.
En effet, je vis George taper le cognard de sa batte et comme un aimant la grosse balle acharnée retourna à la poursuite de notre attrapeur. Fred demanda une mi-temps à Madame Bibine, qui souffla dans son sifflet quelques secondes plus tard.
-Qu'est-ce qui se passe ? demanda Dubois. On est en train de se faire écraser. George, qu'est-ce que tu fabriquais quand le Cognard a empêché Angelina de marquer ?
-On était à dix mètres au-dessus, à essayer d'arrêter l'autre Cognard qui voulait fracasser le crâne de Harry, répliqua George avec colère. Quelqu'un l'a trafiqué, il n'a pas arrêté de harceler Harry sans jamais s'en prendre à personne d'autre.
-Pourtant, les Cognards sont restés sous clé dans le bureau de Madame Bibine depuis notre dernière séance d'entraînement, et ils étaient parfaitement normaux à ce moment-là, dit Dubois d'une voix inquiète.
-En tout cas, dit Harry à Fred et à George, si vous me volez autour sans arrêt, je n'arriverai jamais à attraper le Vif d'or. Alors, occupez-vous des autres joueurs, je me charge du Cognard fou.
-C'est entièrement ta faute, dit Fred à Olivier. « Saisis-toi du Vif d'or, donne ta vie pour ça, si c'est nécessaire. » Qu'elle idiotie de dire ça!
-Prêt à reprendre le match ? Demanda Madame Bibine à Dubois. Celui-ci jeta un coup d'œil à Harry qui paraissait toujours aussi déterminé.
-Oui, répondit Dubois. Fred et George, vous avez entendu Harry ? Laissez-le se débrouiller tout seul avec les Cognards.
Le match repris mais quelques minutes plus tard, le sifflet de l'arbitre retentit signifiant la fin du match. Harry est allongé au sol, je fonce en piqué vers lui. Il paraît évanoui. Le Professeur Lockhart accouru vers lui. Harry repris conscience quelques instant après.
-Oh non... pas vous, gémit-il.
-Il ne sait plus ce qu'il dit, déclara le Professeur. Ne t'inquiète pas pour ton bras je vais te le réparer en un rien de temps!
Il pointa sa baguette sur l'avant-bras d'Harry et prononça une formule à voix basse. Un éclair jailli. Harry regarda son bras inerte, on dirait qu'on gant en caoutchouc à remplacé tous son bras.
-Au moins, tes os ne sont plus cassés, se justifia le professeur.
-Plus cassés? Professeur sans vouloir vous contredire, il n'a plus d'os du tout! M'exclamais-je furieuse de l'incompétence de ce professeur.
Ron et Hermione amenèrent Harry à l'infirmerie.
Nous décidons nous aussi (l'équipe de Griffondor) d'aller à l'infirmerie pour récompenser Harry de ses efforts fournis lors du match.
-Attendez, s'exclama George. On va pas y aller comme ça sans rien?
-Tu as raison, affirma son frère.
Et il partirent en courant.
-Qu'est ce qu'ils vont faire? Demanda Olivier.
-Je ne sais pas et ça me fait peur, répondis je. On entre?
J'ouvre la porte et nous nous dirigeons vers le seul lit occupé. Harry est en train de boire un liquide d'où s'échappe une fine fumée.
-Nous revoilà, dit Fred les mains pleines de chocolat, de gâteaux et de bonbons.
-Non ce n'est pas pour toi!! Jeux du sort! S'écria George devant mes yeux écarquillés. C'est pour notre petit attrapeur blessé.
-Extraordinaire ce que tu as fait, Harry ! dit Fred. Je viens de voir Marcus Flint passer un savon à Malefoy en hurlant qu'il avait le Vif d'or juste au-dessus de sa tête et qu'il ne l'a même pas vu. Malefoy n'en menait pas large, tu peux me croire.
-Ce garçon a besoin de repos, il faut lui faire repousser trente-trois os ! Alors, dehors ! DEHORS ! Hurla Madame Pomfresh.
À ma plus grande déception, Fred et George laissèrent toute la nourriture au pieds d'Harry avant de sortir.
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-Comment faites-vous pour avoir toute la bouffe que vous avez donner à Harry hier? Demandais je à Fred et George au moment du petit déjeuner.
-Faut allez dans la cuisine-,commença Fred.
-Ne lui dit pas, sinon elle va tout vider, le coupa son jumeau.
-Ha-Ha, dis je ironiquement. Elle se trouve où cette cuisine?
-On te montrera après, ok? Répondis George.
-Merci ! répondis je en le serrant dans mes bras.
-Et bah on sait quoi t'offrir toi, dit -il en rigolant.
Ils m'emmènent dans des couloirs que je n'avais jamais vu, nous passons à côté de l'infirmerie. Je jette un coup d'œil, un lit est caché par un rideau tendu autour de lui.
-Harry est guérit? Je l'ai vu manger avec Ron et Hermione.
-Tu n'es pas au courant? Demanda Fred.
-Il y a eu une deuxième attaque, continua George.
-C'est Colin Crivey qui a été pétrifié, finit Fred.
-Non je n'étais pas au courant, dis je.
Je n'avais rien entendu, pas même LA voix. On s'approche alors du lit.
-Qu'est ce que vous faites? Demanda Dumbledore dans notre dos.
-Nous venions voir Colin, c'est un Griffondor, répondis je timidement.
-Et bien allez vous en, je ne veux pas vous voir ici, dit il d'une voix qui ne lui ressemblait pas.
Nous nous en allons, trop troublée par ce que je venais de découvrir et par le reproche de Dumbledore, je n'ai pas regardé où nous allions. Fred appuie sur une des dalles d'un mur et une porte se forma. Nous entrons et plein d'elfes accourent vers nous nous demandant ce que nous voulions. Dix minutes plus tard nous ressortons des cuisines les mains pleines de gâteaux, de bonbons et de chocolats. Je suis au paradis là ce n'est pas possible !
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Victoria Jedusor
FanfictionVictoria Jedusor est la fille de Tom Jedusor et de Bellatrix Lestrange. Élève à Poudlard, elle devient rapidement ami avec les jumeaux George et Fred Weasley, lors de sa première année à Poudlard. Presque personne n'est au courant pour son père et p...